Transmission d’entreprises Luxembourg , cession PME Fran, reprise entreprise Luxembourg , fusion entreprise Luxembourg , développement entreprise Luxembourg
La loi Alur votée en 2014 a fortement renforcé la réglementation de la profession de courtier en transactions sur parts sociales, fonds de commerce et sur immeuble.
Curieusement depuis la loi Hoguet, les transactions sur actions sont moins réglementées que les transactions sur parts sociales d’une SARL ou sur transactions sur immeubles commerciaux ou encore sur cession de fonds de commerce.
Les professionnels sollicitant un mandat pour la cession d’une SARL, d’un fonds de commerce ou d’un immeuble y compris en accessoire d’une SA ou SAS, doivent impérativement disposer d’une carte professionnelle CPI.
Nous disposons de cette carte depuis peu de temps (CPI 7501 2017 000 022 799). Elle a été particulièrement difficile à obtenir car les conditions d’obtention sont devenues très strictes.
Peu de structures disposent de cette carte professionnelle et la sanction est purement et simplement la nullité du mandat ainsi que des poursuites pénales.
Avec seulement 10% d’entreprises qui optent pour la transmission familiale, la Luxembourg se place loin derrière ses voisins. Chiffres et analyses.
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Après une cession, la transmission du savoir et savoir-faire un point central. Alors que 200 PME sont concernées au Luxembourg d’ici 2020, il convient de préparer la cession dès aujourd’hui. Read more
Jeudis de la transition
Voici nos prochaines rencontres pour vos transitions professionnelles: les JEUDIS DE LA TRANSITION.
– le Haut-Rhin le jeudi 19 novembre 2015 de 18.00 à 20.30 Programme (détails en pièce jointe) au CREDIR 8 route d’Ammerschwihr 68240 KIENTZHEIM.
- « Les Success Stories de l’APEC. » par Anne-Catherine BOLLA (regardez l’invitation jointe)
- Panorama des associations et organismes qui peuvent être utiles dans une transition professionnelle.
– le Bas-Rhin le Jeudi 26 novembre 2015 de 18.00 à 20.30 Programme (détails en pièce jointe) au PH8, 8 place de l’Hôpital 67000 STRASBOURG
- «Le fonctionnement du cerveau : allié ou ennemi dans la transition?» avec Jean-François NEDELEC (regardez l’invitation jointe).
- Panorama des associations et organismes qui peuvent être utiles dans une transition professionnelle.
VISITEZ le site du CREDIR : www.credir.org
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Des exemples de fusion de société complètement manquée permettent de comprendre les raisons de l’insuccès. Et de préparer au mieux une prochaine cession.
L’effet de levier dans le cadre d’une holding
Il arrive fréquemment qu’un ou plusieurs investisseurs désirent prendre le contrôle d’une société cible mais n’ont pas la capacité financière suffisante pour acquérir cette dernière.
Dans cette hypothèse, le montage consistant à faire acquérir la société cible par une holding de reprise peut apparaitre particulièrement intéressant puisqu’il confère un effet de levier. Le blog du dirigeant vous propose de revenir en détail sur cette notion.
En quoi consiste le montage ?
Le montage consiste à faire acquérir une société cible par une ou plusieurs holdings.
Illustration : une personne A dispose de 100 000 euros et souhaite acquérir une société cible valorisée à 530 000 euros. D’autres investisseurs sont intéressés par le projet et souhaite y investir 75 000 euros.
- A créé une holding 1 et apporte 100 000 euros. D’autres investisseurs apportent 75 000 euros (soit 175 000 euros au total).
- La holding 1 contracte un emprunt de 50 000 euros et apporte 225 000 euros à une nouvelle holding 2.
- Cette holding 2 va pouvoir conclure, à son tour, un emprunt de 305 000 euros pour acquérir la société cible.
- L’emprunt sera remboursé grâce aux dividendes versés par cette dernière.
Dans ce schéma, on constate qu’avec un investissement de 100 000 euros, A se retrouve majoritaire d’une société valorisée 530 000 euros.
Pour une acquisition directe de la société cible, il lui aurait fallu, en principe, investir au moins 265 000 euros pour bénéficier d’au moins la moitié du capital.
Qu’est-ce qu’un effet de levier ?
Pour comprendre la notion d’effet de levier, il convient de prendre en compte ses différentes composantes.
Le rachat d’une société par une ou plusieurs holdings de reprise génère en effet un effet de levier :
- Sur le plan juridique
- Sur le plan financier
- Sur le plan fiscal
- Sur le plan organisationnel
Ces différents effets de levier forment la notion générale.
Qu’est-ce qu’un effet de levier juridique ?
L’effet de levier juridique permet à un acquéreur de prendre le contrôle de la société cible par une ou plusieurs holdings intercalées.
Le montage tire profit des mécanismes du droit des sociétés pour optimiser cette prise de contrôle par :
- Une rédaction d’un pacte d’associés
- Une éventuelle émission d’actions de préférence
- …
Cet effet de levier juridique permet également de préserver la responsabilité de la personne à la tête du groupe en cas de difficultés quant au remboursement de l’emprunt (excepté dans certaines hypothèses, comme pour une faute de gestion).
Remarque : le choix du statut juridique de la holding de reprise joue un rôle primordial pour le dirigeant. La SAS est ainsi souvent conseillée en raison de la protection accordée à son dirigeant et de la grande liberté statutaire qu’elle offre.
Il convient également de préciser que plus le montage comportera de holdings et plus la gestion du groupe sera lourde et coûteuse.
Qu’est-ce qu’un effet de levier financier ?
L’effet de levier financier consiste, pour la holding de reprise, à rembourser le montant de ses emprunts grâce aux dividendes perçus par la société cible.
Lorsque la société acquise comporte des actifs inutiles, il sera possible de procéder à leur cession dans l’optique de générer des dividendes supplémentaires pour rembourser l’emprunt au niveau de la holding.
Luxembourg Lbdd : la réussite d’un tel effet de levier financier n’est possible que si la société cible génère un résultat suffisant pour permettre une distribution régulière de dividendes. Ainsi, le rôle de l’audit est primordial pour évaluer la rentabilité future de la société cible antérieurement à l’acquisition.
Qu’est-ce qu’un effet de levier fiscal
L’effet de levier fiscal trouve sa consistance dans trois dispositifs qui peuvent être appliqués à un tel montage :
- Le régime mère-fille : permet une quasi-exonération fiscale lors de la remontée des dividendes de la société cible vers la holding de reprise
- La déduction fiscale des intérêts d’emprunt au niveau de la holding
- Le régime de l’intégration fiscale : permet, en cas de détention de la société cible par la holding de reprise à plus de 95%, de rendre la société tête de groupe seule redevable de l’impôt. Ce régime permet également d’exonérer totalement la remontée des dividendes et de procéder à l’imputation des déficits du groupe.
Remarque : pour pouvoir bénéficier d’un tel effet de levier fiscal, la holding de reprise et la société cible doivent être soumises à l’impôt sur les sociétés.
Qu’est-ce qu’un effet de levier organisationnel
Le montage permet d’être majoritaire à la tête de la société cible. Cet effet de levier consiste donc :
- A dicter la politique de la société cible en vue de maximiser le profit pour permettre le remboursement de l’emprunt
- A conserver ou à modifier le dirigeant actuel de la société
La politique organisationnelle du groupe se doit d’être en adéquation avec l’intérêt de la holding de reprise pour permettre d’optimiser le montage.
Conclusion
L’effet de levier conféré par un tel montage ne peut être un succès que si de nombreuses analyses et simulations ont été réalisées en amont de l’opération. A ce titre, le choix d’un professionnel compétent (expert-comptable ou avocat) apparaît nécessaire pour offrir toutes les garanties du montage.
Par :
Luc BRZUSTOWSKI
Tel : +33(0)4 37 65 07 67
E-mail : [email protected]
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C’est la grande question de la transmission : comment évaluer la valeur d’une entreprise ? Retour sur les méthodes qui permettent de fixer un prix de vente. Read more
FISCALITÉ : FAUT-IL CÉDER SON ENTREPRISE OU ATTENDRE ?
Le chef d’entreprise est aujourd’hui, plus que jamais, confronté à un choix que l’on pourrait qualifier de cornélien. Doit-il vendre son entreprise aujourd’hui ou attendre des jours meilleurs pour vendre ?
Le rythme effréné des mesures fiscales adoptées au cours de ces derniers mois n’apporte pas un vent de tranquillité ! Quatre lois de finances rectificatives au cours du dernier semestre 2011, suivies d’une loi rectificative 2012 à peine deux mois après avoir publié la loi de finances 2012. Puis un changement de majorité présidentiel qui annonce d’ores et déjà une réforme fiscale de grande ampleur qui sera votée dès cet été. Tout cela vient créer un climat d’instabilité sans précédent qui impose les professionnels à une constante mise à jour de leurs connaissances.
Outre la crise financière qui a déstabilisé le marché financier et fragilisé le contexte économique, nous constatons depuis quelques mois un net ralentissement des opérations de transmission d’entreprise. Les dirigeants, habitués à prendre des décisions rapides et averties sont plus que jamais malmenés par les différentes décisions de nos politiques qui viennent par couche successive neutraliser leurs bonnes initiatives entrepreneuriales. Les investisseurs désirant reprendre une entreprise savent que le contexte ne leur est pas forcément favorable pour obtenir un financement dans de bonnes conditions. Par ailleurs, la nouvelle loi rectificative pour 2012 vient encore les conforter à l’idée de reporter l’acquisition après le 1er août 2012 en raison de la mise en application d’un droit d’enregistrement très inférieur.
De leur côté, les cédants sont conscients de cela et n’hésitent pas à retarder la cession de leur entreprise en espérant que l’avenir sera plus prometteur. Mais le sera t-il vraiment ?….
Les dispositions fiscales les plus marquantes qui intéressent directement la transmission d’entreprises à titre onéreux concernent la plus-value de cession des titres ainsi que les droits d’enregistrement.
On imagine très aisément l’étendue de la déception des cédants après le vote définitif par l’assemblée nationale qui est venu pulvériser le régime d’abattement progressif prévu sur les plus-values sur titres après une durée de détention de cinq ans minimum. Cette mesure se voulait incitative afin de récompenser la prise de risques des détenteurs inhérente à l’investissement dans le capital des entreprises. Désormais, la plus-value sera soumise à un taux d’imposition de 19% plus les prélèvements sociaux soit 32,50% et 34,50% à compter du 1er juillet 2012, à moins que le cédant n’opte dans un délai de 36 mois pour un réinvestissement de 80% de sa plus-value, nette de prélèvements sociaux dans une souscription atteignant au moins 5% du capital d’une PME qui lui donnerait droit à un report d’imposition…
Le dirigeant de PME qui entend demain céder son entreprise avant d’avoir atteint l’âge de la retraite sera tenté d’éviter une cession sèche en raison du taux d’imposition confisquatoire et sera davantage incité à recourir à une panoplie de schémas d’optimisation (apports-cessions suivis de réinvestissements dans d’autres entreprises, donations-cessions) qui permettent actuellement de différer, voire de gommer l’imposition de la plus-value taxable.
Concernant les droits d’enregistrement, les cessions d’actions et de parts sociales étaient soumises jusqu’au 31 décembre 2011 à un droit de 3 %. A compter du 1er janvier 2012, la Loi de Finances pour 2012 modifie les règles de calcul du droit d’enregistrement jusqu’au 1er août 2012.
• Pour les cessions d’actions, la loi remplace le taux proportionnel unique par un barème dégressif :
Montant des Taux de taxation
Jusqu’à 200 000 € : 3% %
Fraction supérieure à 200 000 € et inférieure à 500 millions d’€ : 0,5 %
Fraction supérieure à 500 millions d’€ : 0,25 %
En parallèle, le plafonnement antérieur des droits d’enregistrement à 5.000 € est supprimé.
Dans les sociétés non cotées, le droit est exigible même en l’absence d’acte.
Par ailleurs, la loi étend également son application aux cessions réalisées à l’étranger portant sur des sociétés ayant leur siège social en Luxembourg. Néanmoins, un crédit d’impôt égal à l’impôt acquitté à l’étranger est imputable sur la taxe due en Luxembourg dans la limite du montant de cette dernière afin d’éviter des doubles impositions,
• Pour les cessions de parts sociales (SARL, sociétés civiles…), celles-ci restent soumises au droit de 3 % qu’elles soient ou non constatées par un acte.
•Un abattement égal au rapport entre la somme de 23 000 € et le nombre total de parts sociales de la société sera alors appliqué sur la valeur de chaque part sociale.
A compter du 1er août 2012, un nouveau taux de 0,10% sera en applicable, qui sera aligné sur le taux de la taxation des transactions financières.
Pour éclaircir nos propos, prenons le cas d’une SARL dont le capital est divisé en 1 000 parts sociales. Monsieur X, associé, cède 500 parts pour un prix de 250 000 €.
Si la SARL n’est pas transformée en SAS, l’assiette de la taxation sera le suivant :
250 000 € – (23 000 € x 500 parts vendues / 1 000 parts constituant le capital social) = 238.500 €. Les droits dus s’élèveront à 238 500 x 3 % = 7 155 €.
Si la SARL est transformée en SAS et cédée avant le 1er août 2012, s’agissant d’une société par actions, les droits dus s’élèveraient quant à eux à :
(200.000 x 3%) + (50.000 x 0,5%) = 6 250 €
Si la SARL est transformée en SAS et cédée après le 1er août 2012, les droits d’enregistrement s’élèveront à :
250.000€ x 0,10% = 250 € !
Dans ce contexte, la transformation d’une SARL en SAS préalablement à une cession, demeure dans la majorité des cas une solution pertinente jusqu’au 1er août 2012 (pour toute transaction supérieure à 223.394 € pour 100% des titres).
A compter du 1er Août 2012, cette transformation sera dans tous les cas pertinente … mais, il n’est peut-être pas prudent d’attendre que le nouveau gouvernement ne vienne d’ici là souffler d’autres règles fiscales remettant en cause ce dispositif !
Nous pensons en effet, qu’à l’avenir d’autres mesures restrictives viendront inéluctablement compléter ces dispositions. Dans ce contexte d’instabilité, il nous parait inutile d’attendre pour transmettre. Des solutions d’optimisation existent. Néanmoins, elles ne peuvent être mises en place dans l’urgence. C’est pourquoi, il faut faire appel à des professionnels qui viendront vous conseiller et vous accompagner dans votre processus de transmission.
Actoria peut vous aider à trouver la solution la plus optimisante !
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A l’heure ou la volatilité semble à nouveau gagner les marchés financiers, que la courbe des taux obligataires s’inverse et que la hausse des salaires s’installe, ne sommes- nous pas à l’aube d’une nouvelle crise financière ou d’un nouveau cycle inflationniste ?
Faut il laisser ses avoirs liquides flirter avec les taux négatifs pour ensuite les voir se déprécier d’année en année ?
Quel actif sûr, se jouant de l’inflation et présentant un potentiel important de plus-value sur le long terme, pourrait dans le contexte actuel, se révéler une formidable opportunité d’investissement ?
Le Foncier Viticole en Champagne.
Aussi rare que prestigieux, le foncier viticole champenois n’est pas accessible facilement mais, guider et accompagner par des professionnels de la filière, il est possible de réaliser, clés en main, de très belles opérations d’investissements qui sont de deux ordres.
Devenir tout d’abord propriétaire d’une parcelle de vigne achetée déjà louée, pour profiter d’une décote de 20 à 25%, et percevoir un fermage (loyer) en numéraire ou en bouteilles, mais surtout, pour potentiellement constater une importante plus-value sur le long terme et transmettre dans des conditions extrêmement avantageuses.
EXEMPLE
Monsieur ANDRE a acquis en 2006 une parcelle de vigne de 40 ares sur La Cote des Bar en Pinot Noir au prix de 282 760 € *. Pendant 10 ans il a perçu un cumul de fermages (loyers) approximatif de 56 000 €.
En 2016, il cède sa vigne au prix de 445 400 € * et aura perçu la somme brute de fiscalité de 501 400 €, fermages compris, soit 177% du prix d’achat.
€* valorisation sur la base de vignes libres suivant barème de la SAFER.
Mais aussi pour les investisseurs les plus audacieux, devenir propriétaire d’une parcelle de vigne qui serait exploitée en association avec un vigneron, pour élaborer des bouteilles de qualité vendues par l’investisseur idéalement à l’export, sous sa propre marque.
EXEMPLE
Monsieur PHILIPPE a acquis en 2006 un hectare de vigne en plein rapport sur la Cote des Bar au prix de 706 900 €*. Cette vigne est donnée en location à une société détenue à 50 /50 par l’investisseur et le vigneron. Des bouteilles sont élaborées tous les ans ** et vendues 20 € HT par l’investisseur.
En 2016, ce dernier arrête l’exploitation et cède sa vigne au prix de
1 113 500 €*. Sur la durée, les fermages cumulés ont été approximativement de 140 000 € et la plus-value brute, partagée avec le vigneron, liée à la vente des bouteilles, aura été de 394 250 pour un total brut de fiscalité de
1 647 500 €, soit 233% du prix d’achat.
€* valorisation sur la base de vignes libres suivant le barème SAFER
€** Sur la base hypothétique des maxima de production de kilos à l’HA autorisés chaque année par la profession sans aléa climatique.
NB : Ces deux exemples dont données à titre indicatif et ne peuvent en aucun cas servir de base d’engagement, en sachant d’une part que les performances passées ne préjugent pas des performances futures pour l’évolution du prix de la terre et que les productions viticoles sont soumises au aléas climatiques qui peuvent les rendre incertaines ou irrégulières.
Enfin, les investissements viticoles sont préconisés sur le long terme, voire même sur le très long terme, pour une valorisation optimale et une fiscalité très avantageuse.
Notre tout nouveau service de Luxembourg en Investissement Viticole saura grâce à ses spécialistes vous accompagner dans vos souhaits d’acquisition quels que soient votre niveau d’investissement et votre souhait d’implication…………..
Le piège des multiples de valorisation
Le cabinet Actoria Luxembourg aide les chefs d’entreprise à réussir la #cession de leur société.
Tout chef d’entreprise sera confronté à un moment ou un autre à la question épineuse de la valorisation de sa société. Les informations sur ce sujet foisonnent et les professionnels de l’#évaluation d’entreprise ne manquent pas. Cependant, de par leur complexité, les résultats de #valorisation ne sont pas à la portée de tous.
La tentation est alors grande de recourir à des raccourcis pour évaluer une entreprise
Il est tentant de recourir à des multiples d’éléments familiers, le chiffre d’affaires ou le bénéfice par exemple. Ainsi, une telle entreprise vaudrait-elle x fois son CA, ou x fois son bénéfice. On dit bien que L’Oréal vaut 27 fois son bénéfice ?
Ainsi, comment comprendre qu’une valorisation effectuée en bonne et due forme, mais compliquée à appréhender, par un professionnel de la transmission d’entreprise se révèle différente, voire très différente, du fameux multiple avec lequel une transaction similaire aurait été conclue ?
Cette situation créé un vrai doute chez le vendeur, et ce, surtout si la transaction en question s’est faite pour une entreprise “comparable”.
Bien sûr, “comparable” sous-entend même secteur d’activité, même métier, grosso modo la même taille, chiffre d’affaires et rentabilité. Cela pourrait être le cas, par exemple, d’un concurrent direct, ce qui ne manque pas d’y ajouter du piquant.
En tant que conseil aux dirigeants de pme, nous avons évidemment rencontré ce type de situation, en somme assez banale.
Ainsi, pour le cas qui nous intéresse, il s’avère que certes le chiffre d’affaire et la rentabilité sont du même ordre, mais le concurrent en question dispose d’une importante réserve de trésorerie, n’est pas du tout endetté et a un portefeuille de clientèle bien diversifié et pérenne.
Ce sont quelques uns des facteurs bien plus avantageux qui justifient à eux seuls une valorisation plus élevée, sans qu’on ait à aller plus loin dans une analyse comparative plus approfondie des multiples facteurs, aussi bien quantitatifs que qualitatifs, que constitue une évaluation complète.
Comparer ce qui est comparable
Ce qui faut donc retenir est qu’une évaluation par des coefficients multiplicateurs suppose l’existence de sociétés strictement comparables. Ce qui est rarement le cas pour les TPE et PME qui, de par leur taille, occupent souvent des niches de marché et sont donc chacune quasiment unique.
Leur petite taille fait aussi qu’elles sont beaucoup plus sensibles aux variations de leurs résultats, ce qui rend, encore une fois, leur comparaison extrêmement délicate.
Le nécessaire travail d’évaluation
Les coefficients multiplicateurs sont les résultants des calculs de valorisation, et non le contraire. C’est peut être un moyen pratique pour représenter la valeur d’une entreprise, mais certainement pas un substitut à la véritable évaluation par un professionnel qualifié.
Par :
Kalyann KONG
Tel : +33 (06) 75 20 16 56
E-mail : [email protected]
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Depuis plusieurs années, le rythme des transactions en fusions et acquisitions ne cesse de s’intensifier, quel est le secret ? En effet, ces transactions sont motivées par le fameux phénomène de la création de valeur.
Les spécialistes ou les experts en fusions et acquisitions ont la capacité de détecter un potentiel de croissance inexploité ou mal exploité par telle ou telle entreprise. Ils vont donc apporter leur savoir-faire aux dirigeants des entreprises en les accompagnant dans des nouvelles stratégies de développement.
Les dirigeants peuvent tirer parti d’opérations de rapprochement en créant des synergies avec d’autres entreprises ou en apportant, par du financement, des possibilités nouvelles de développement.
Pourquoi les fusions – acquisitions créent de la valeur ?
Les spécialistes en fusions et acquisitions se chargent de rapprocher les dirigeants en besoin d’investissement et les dirigeants qui rencontrent des difficultés à se développer ou encore ceux qui veulent se séparer de leurs entreprises pour récupérer des liquidités et les investir d’une façon plus efficiente.
Ces transactions sont une source de création de valeurs et de synergies. Les deux parties convergent vers un seul et unique but : être plus efficaces et plus profitables.
Par exemple, dans le cas d’une transmission d’entreprise, les vendeurs se séparent de leurs entreprises tout en assurant le développement de leur entreprise. Ici, le professionnel en fusions acquisitions identifie un repreneur avec les capacités financières et professionnelles garantissant le développement de l’entreprise. Le repreneur, quand à lui, s’approprie une entreprise en espérant en tirer une rentabilité du capital investi plus importante que pour un autre placement grâce à des synergies et des économies d’échelles entre autres.
En effet, ces transactions sont génératrices d’une meilleure utilisation des actifs, d’une meilleure maîtrise des chocs industriels, d’un accroissement rapide de la taille de l’entreprise, d’un accès aux connaissances et compétences stratégiques et d’une augmentation de la part de marché et des barrières à l’entrée tout en réduisant la pression concurrentielle.
Comment les fusions – acquisitions créent de la valeur ?
Le travail d’un expert en fusions et acquisitions est complet. Dans un premier temps il part d’une feuille blanche. Par exemple, vous connaissez 2 sociétés X et Y complémentaires et vous vous dites « il faut les rapprocher ». Sur cinq idées, il y en a au moins une qui va créer de la valeur ainsi que des emplois. Les opportunités de transactions proviennent, parfois, de l’initiative des experts en fusions & acquisitions amenant les investisseurs à s’intéresser aux opérations qu’ils proposent ou encore par les dirigeants d’entreprises eux-mêmes. Les transactions de rapprochements, fusions et acquisitions sont créatrices de valeur étant donné qu’elles ont pour but le développement et la croissance.
Une entreprise peut augmenter sa part de marché et accélérer sa croissance sans avoir réellement besoin de fournir des efforts en interne et ce en rachetant un concurrent. Généralement, ces fusions sont appelées « fusions horizontales ». Une grande entreprise peut choisir de racheter une plus petite qui lui est concurrente. Cela permet à la grande entreprise d’élargir son portefeuille de produits et d’accroître sa capacité de production. La plus petite, elle, pourra bénéficier du réseau de distribution de son acquéreur, par exemple.
Ou encore, une entreprise peut réduire de nombreux coûts en achetant l’un de ses fournisseurs ou de ses distributeurs afin d’augmenter son pouvoir de négociation au sein de la chaîne de valeur. En effet, si une entreprise rachète un de ses fournisseurs, elle peut par exemple faire des économies sur les marges fournisseur. Dans ce cas, on parle de « fusion verticale ». Dans l’autre sens, si une société rachète un distributeur, elle pourra faire transporter et livrer ses produits à moindre coût.
Généralement, une opération est supposée créatrice de valeur lorsque la somme de la valeur de la nouvelle entité fusionnée est supérieure à la somme de la valeur des deux entités en travaillant séparément. Grâce à des synergies opérationnelles et financières et à de nouvelles structures des coûts une fois que deux entreprises sont fusionnées, souvent ces transactions sont créatrices de valeurs et de performance.
Cependant, les dirigeants qui préparent, mettent en place et exécutent des programmes d’implantation avec rigueur améliorent leurs chances de succès. Voilà pourquoi la plupart des dirigeants s’adressent à des experts en fusions et acquisitions pour mieux se préparer à cette transaction. D’ailleurs, avoir payé un « vrai spécialiste », c’est, du point de vue d’un investisseur responsable d’un projet de transaction, se donner de meilleures chances de convaincre.
Comment les fusions acquisitions favorisent le développement des entreprises en période de crise ?
En cette période délicate, une politique proactive de croissance externe est recommandée pour s’en sortir par le haut. Parmi les actions stratégiques, à mener pour faire évaluer rapidement sa position, privilégiées par les experts sont : des opérations de croissance externe.
Dans ce contexte, ce sont les entreprises avec des stratégies de fusions & acquisitions ciblées qui seront les plus à même de tirer profit de cette situation. En effet, une des manières de faire afin de continuer sa croissance en période de crise est de se réunir pour devenir plus performant. Ça peut être par un rapprochement de deux entreprises concurrentes servant le même marché ou vendant des produits similaires, par un rapprochement de deux entreprises impliquées à différentes étapes du processus de la chaîne d’approvisionnement pour un bien ou un service commun ou encore entre deux entreprises n’ayant aucun lien de production ou de marché.
Ce type de croissance consiste en une acquisition totale ou partielle, par différents moyens, de titres d’une entreprise, en acquérant ainsi des actifs déjà combinés et organisés, prêts à fonctionner. Elles peuvent être considérées comme un mode de restructuration des groupes pour redéployer les éléments matériels et immatériels et distinguer le plus rentable du moins rentable. Leur objectif principal est la réalisation de synergies qui dépend souvent de la capacité de la nouvelle entité à gâter les économies inexploitées de chaque fonction.
En effet, un rapprochement de deux entreprises va permettre entre autres de baisser les coûts de production, ce qui, économiquement, est plutôt une bonne nouvelle. Cela veut dire qu’il y a eu des gains d’efficacité. En fonction de la stratégie de l’entreprise, à la suite de ça, les prix peuvent baisser pour gagner en part de marché ou augmenter vu que le nombre des acteurs présents sur le marché baisse et qu’une possibilité de détenir une situation dominante sur le marché est envisageable, en fonction du secteur.
Chez Actoria, un contrat de régie est mis en place avec le dirigeant qui souhaite vendre son entreprise sous une forme particulière : partenariat, fusion, MBO, etc. Explications. Read more
COMMUNIQUE DE PRESSE : ACTORIA accompagne la vente de la société FRENDO
COMMUNIQUE DE PRESSE
Le 10 décembre 2015
ACTORIA accompagne la vente de la société FRENDO
La société FRENDO est une entreprise de conception et distribution d’articles de sport et de loisir, pour l’univers de la montagne et de l’outdoor : éclairage, escalade, luges, bagagerie, randonnée, bivouac. Avec 3,4 M€ de CA en 2014, elle est la principale entreprise de son secteur sur la Côte d’Azur. Créée il y a près de 70 ans par un alpiniste de légende, FRENDO est aujourd’hui installée à Menton, dans les Alpes-Maritimes. L’entreprise distribue ses produits auprès de 800 points de vente, principalement des magasins spécialisés ; parmi lesquels les plus grandes enseignes du sport et du loisir en Luxembourg.
ACTORIA a accompagné son dirigeant-actionnaire M. Luc Hostein dans le processus de préparation, de recherche de repreneurs et de négociation jusqu’à la reprise de la société par un repreneur individuel en décembre 2015.
Acteurs de cette transmission (Luxembourg cédant) : André Didelot, ACTORIA Provence-Alpes-Côte d’Azur
Pour en savoir plus : https://www.actoria.fr
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Il est important de se demander à quel âge céder son entreprise. S’il n’existe pas de réponse universelle, quelques pistes doivent être envisagées.
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Pour tout juge consulaire, l’activité liée à ce que l’on appelle les procédures collectives est sûrement celle qui leur fait sentir au plus près le rythme de la vie économique.
C’est aussi, souvent, la plus médiatique.
Contrastant avec ce qui fait fréquemment l’actualité, il y a, en revanche, peu de chiffres recensant cette activité.
Aussi, l’étude réalisée sur les plans de cession que vous avez entre les mains est intéressante à plus d’un titre.
De la durée moyenne d’une procédure – de l’ouverture jusqu’à l’examen des offres – en passant par le nombre d’offres déposées et le taux d’emplois repris, nous voyons sous forme documentée ce que nous pouvions pressentir.
Permettre la poursuite de l’activité de l’entreprise, maintenir l’emploi, apurer le passif.
A l’évidence, l’ordre prescrit par la loi est plutôt respecté :
– 1,6 offre maintenue en moyenne par dossier,
– ¾ des emplois sauvés et même 83% dans le cas des entreprises les plus importantes (+ de 500 salariés),
– en revanche seulement 6% de taux d’apurement du passif par les plans de cession.
On peut se demander si cette hiérarchie persistera après la mise en application de la future Directive européenne sur l’insolvabilité.
Comment trouver le bon repreneur
Trouver un repreneur n’est pas une synécure ! Il ne faut pas attendre le repreneur providentiel et si vous voulez le “bon” repreneur pour votre entreprise, il va falloir respecter une méthodologie bien stricte.
La recherche puis la sélection d’un repreneur ne s’improvise pas et nécessite de faire un travail préalable sur vous-même au niveau de votre prise de décision, mais aussi au niveau de votre entreprise afin de la présenter sous son meilleur jour afin d’attirer de manière magnétique les meilleurs repreneurs pour votre entreprise.
Remplissez le formulaire ci-dessous pour vous inscrire à la conférence en ligne, vous recevrez les instructions par e-mail pour y assister :
La transmission familiale offre des avantages pour le cédant et le repreneur. À condition de sélectionner le bon profil. Nos conseils pour vous accompagner.
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Pourquoi préparer une vente d’entreprise ?
Pourquoi les experts disent tous qu’il FAUT préparer une transmission d’entreprise ?
Suite à ma dernière intervention sur BFM, vous avez été nombreux à me demander de développer la question de la préparation de la transmission d’entreprises.
C’est vrai que lorsqu’on interroge les experts en transmission d’entreprise au Luxembourg, ils disent tous de concert qu’il faut préparer, anticiper une transmission d’entreprises
Souvent les experts en transmission d’entreprises disent qu’il faut préparer et comment il faut préparer une transmission mais ne donnent pas beaucoup d’explications sur le pourquoi de la préparation.
Vous trouverez dans cette video toutes les explications.
Suite à ma dernière intervention sur BFM, vous avez été nombreux à me demander de développer la question de la préparation de la #cession d’entreprise.
Nombreux sont les chefs d’entreprise à se demander finalement pourquoi préparer une cession d’entreprise ?
C’est vrai que lorsqu’on interroge les experts en cession d’entreprise, ils disent tous de concert qu’il faut préparer, anticiper une transmission d’entreprise
Souvent les experts en transmission d’entreprise disent qu’il faut préparer et comment il faut préparer une cession mais ne donnent pas beaucoup d’explications sur le pourquoi de la préparation.
Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous mais si on ne m’explique pas pourquoi je dois faire quelque chose, le moins que l’on puisse dire c’est que je ne suis pas motivé pour le faire.
Dans un instant, je vais vous révéler pourquoi il est si indispensable de préparer votre transmission et les conséquences que cela peut avoir de ne pas préparer cette opération.
Il est en effet indispensable d’anticiper une transmission d’entreprises au minimum afin de mettre sur le marché une #PME présentable, une entreprise sous son meilleur jour.
Vous devez donc préparer votre transmission d’entreprise et le plus tôt possible.
J’entends beaucoup d’experts dire qu’il faut déclencher la préparation 5 à 10 ans avant de #transmettre une PME et dans l’absolu ils ont parfaitement raison.
Mais d’un point de vue réaliste, je dirais qu’il faut préparer 2 ans minimum avant de lancer l’opération pour avoir le temps nécessaire pour à la fois préparer l’entreprise, le dirigeant et l’opération elle-même.
Alors pour que vous soyez convaincu de l’impérieuse nécessité de bien préparer suffisamment tôt votre cession d’entreprise, je vais dans un instant vous expliquer ce qui va ce se passer si vous ne préparez pas votre transmission.
Souvent le chef d’entreprise que vous êtes ne voit plus de manière objective dans quel état se trouve son entreprise. Vous avez la tête dans le guidon et n’arrivez plus à prendre du recul. Vous ne voyez plus les faiblesses et menaces qui pèsent sur votre entreprise mais parfois vous ne voyez pas non plus les valeurs ajoutées, les forces, les opportunités de développement de l’entreprise.
Si vous ne voulez pas être victime de mauvaises surprises après la réalisation de la cession, vous devez avoir évalué les conséquences et les risques liés à l’opération tant au niveau du dirigeant (vous transmettez pour faire quoi après, quelles sont les conséquences financières, patrimoniales, fiscales de l’opération, acceptez-vous avec sérénité de redevenir un simple quidam ?)
Qu’au niveau aussi de l’entreprise : il faut se poser les bonnes questions : puis-je mettre facilement une autre personne dans mon fauteuil et quitter les manettes ? L’organigramme de l’entreprise est- –t il optimal pour un repreneur ? De même avez-vous mis en place un système informatique de suivi de la gestion de commerciale, production, sociale ou financière.
Mais aussi au niveau de l’opération : sans disposer d’un minimum d’outils tels qu’un diagnostic des forces et faiblesses, d’une évaluation financière et d’un dossier de présentation, vous serez désarmés en phase de discussions et négociations. Vous risquez d’être pris comme un véritable amateur par les repreneurs.
Comment très concrètement préparer l’opération de cession d’entreprise ?
En résumé et pour faire simple, il y a 3 choses à préparer :
. Le ou les dirigeants actionnaires partants
. L’entreprise
. L’opération elle-même de cession
Le 1er point de la préparation : le ou les dirigeants partants
Pour la plupart des propriétaires d’entreprises, la transmission d’une entreprise est un événement unique dans une vie, sans doute après la création de votre entreprise, l’un des évènements les plus importants de votre vie professionnelle.
Alors Prenez du recul et analyser objectivement votre état émotionnel qui est pour l’instant entièrement investi dans votre entreprise et comment demain votre vie va radicalement changer quand vous allez quitter votre entreprise. Serez-vous aussi heureux et comblé de faire quelque chose d’autre ?
Vous aurez également besoin de vous poser des questions difficiles au sujet de vos attentes financières. Avez-vous une idée de la vraie valeur de votre entreprise ? Quels sont vos objectifs financiers personnels ? Avez-vous besoin d’aide pour réaliser cette transaction et si oui acceptez-vous de rémunérer des conseillers ?
2e point de la préparation : l’entreprise.
Certains facteurs peuvent réduire la valeur de votre entreprise dans une transmission ou même empêchertotalement la transmission de se réaliser.
Par exemple : Avez-vous des contrats qui ne sont pas cessibles ? Avez-vous obtenu l’accord de la collectivité des actionnaires sur votre projet ? Votre clientèle est-elle concentrée sur quelques clients ?
Si vous avez répondu «oui» à l’une de ces questions vous pourriez avoir quelques problèmes sur la table à régler !
Ils peuvent sans doute être corrigés, mais cela prend du temps.
Donc il est important d’identifier les problèmes qui peuvent être repérés facilement par tout repreneur, corrigez les avant de transmettre et si ce n’est pas le cas, annoncez-les aux repreneurs potentiels ainsi que les solutions que vous avez commencées à mettre en place.
Une bonne technique est de se mettre à la place d’un repreneur qui va réaliser un audit : passez au crible votre gestion et enlever tous les cadavres des placards et nettoyer votre entreprise, pas seulement au sens propre vos bureaux ou installations mais aussi au sens figuré au niveau de son organisation, sa gestion, sa structure.
3e point de la préparation : Concernant l’opération de cession elle-même
Vous ne pouvez pas foncer tête baissée dans la recherche d’un repreneur sans disposer d’outils indispensables.
Au minimum j’en vois 3 dont vous devez disposer avant de déclencher l’opération et cela quelque soit la taille de votre entreprise, petite moyenne ou grande :
En premier lieu vous devez faire réaliser par expert, tel que Actoria par exemple, un diagnostic de votre entreprise
afin de mettre en avant la performance de l’entreprise sur au moins 3 années.
Il s’agit ici d’identifier les forces et faiblesses de votre entreprise mais aussi les menaces et opportunités.
Cette étape est essentielle car si vous ne connaissez pas bien les atouts, les valeurs ajoutées de votre entreprise vous ne pourrez justifier d’une valorisation élevée lors des négociations.
De même si vous ne connaissez pas les défauts, les faiblesses de votre entreprise, en phase de négociation vous serez désarmés face aux questions et critiques des repreneurs et vous ne serez pas en mesure d’apporter des éléments de réponse convaincants.
Une fois réalisé le diagnostic de l’entreprise, il est nécessaire de faire réaliser par un professionnel expérimenté, comme Actoria, une véritable expertise financière de votre entreprise afin de connaître sa valeur objective sur le marché.
Cette étape est très complémentaire du diagnostic car en effet on va donner ici la valeur de l’entreprise à un moment T par exemple le 31 décembre 2014 ou 30 juin 2015 alors que le diagnostic a pour objet l’analyse de la performance dans la durée en général sur une période de 3 à 5 ans.
Enfin vous devez disposer d’un véritable dossier de présentation
que vous allez remettre à des repreneurs potentiels.
Il n’est pas concevable de rechercher un repreneur sans disposer d’un dossier complet sur votre entreprise qui met en valeur son historique, son environnement géographique et économique, son positionnement sur son marché, une présentation de ses produits ou services, mais aussi de ses opportunités de développement et de croissance.
Aujourd’hui tous les repreneurs, quelque soit leur profil, un manager, une société en croissance externe ou un fonds d’investissement, demande un dossier de présentation.
Ce dossier présente par ailleurs de nombreux avantages : parfaite maitrise de l’information transmise. On peut même avoir plusieurs parties de dossier de présentation remises progressivement.
Un autre avantage est le gain de temps : un bon dossier doit répondre à 99% des questions que se pose un repreneur sur votre entreprise.
Si un repreneur confirme son intérêt et souhaite vous rencontrer après la lecture du dossier de présentation vous partez sur de bonnes bases et vous allez limiter les rendez-vous informatifs au cours desquels vous répondez toujours aux mêmes questions sur l’histoire de l’entreprise, son marché, ses concurrents, etc…Il vaut mieux garder votre énergie pour la phase de négociations et gagner du temps sur la mise en relation avec des repreneurs.
Enfin je dirais une dernière chose : n’oublions pas qu’un repreneur n’achète pas le présent encore moins le passé de l’entreprise, il parie sur l’avenir. Donc soyez convaincants sur le potentiel de croissance de l’entreprise dans votre dossier de présentation.
Avant la transmission, il convient de savoir comment valoriser son entreprise. Quelles sont les méthodes plébiscitées ? Actoria fait le point.
Transmission d’entreprises Luxembourg , cession PME Fran, reprise entreprise Luxembourg , fusion entreprise Luxembourg , développement entreprise Luxembourg
Nous revenons régulièrement sur notre blog sur le processus de fusion- acquisition. Aujourd’hui, voyons comment une bonne négociation du prix mais aussi des conditions de vente influence le succès futur de l’entreprise.
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Votre conseiller en transmission vous l’a conseillé pour ses avantages, juridiques, fiscaux et financiers. Mais au fond, pourquoi créer une holding ? Et comment faire ? Actoria Luxembourgs répond à toutes vos questions.
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Transmission d’entreprises Luxembourg , cession PME Fran, reprise entreprise Luxembourg , fusion entreprise Luxembourg , développement entreprise Luxembourg
10 conseils à suivre pour réussir sa cession de PME
De nombreux pièges se dressent devant le chef d’entreprise qui souhaite céder ou transmettre son entreprise. Le cabinet Actoria a ciblé les dix erreurs à éviter lors de la vente de votre entreprise pour optimiser les conditions humaines et financières.
Nous les avons regroupées autour de trois conseils : s’accompagner, se préparer et bien conduire les négociations.
Tout d’abord, nous recommandons d’être accompagné dans le processus de vente et de savoir déléguer pour votre propre intérêt :
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Déléguer pour développer
Cela permet de continuer à œuvrer au développement de l’entreprise pendant que les négociations se déroulent. La création de valeur ne connaît pas d’interruption. Votre marché continue à être porteur et l’entreprise demeure capable d’améliorer encore son chiffre d’affaires et conquérir des parts de marché. De plus, votre capacité à rester aux manettes prouve la fiabilité de l’entreprise et augmente de fait la confiance des candidats dans le rachat d’une entreprise performante.
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Déléguer pour un meilleur casting
En choisissant de vous entourer d’un cabinet de conseil en fusions-acquisitions ou d’une banque d’affaires vous faites le choix de faire confiance à des professionnels expérimentés. Ayant un réseau européen de 8 000 repreneurs, Actoria permet de diffuser votre offre à un large panel d’entrepreneurs et d’entreprises candidates à la reprise par une approche multicanal. De plus, l’expérience professionnel de nos consultants permet de sélectionner les candidats aux profils professionnels et capacités financières adéquates.
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Déléguer pour protéger
La confidentialité est une donnée essentielle dans le processus de vente. Sur votre marché, rendre public vos projets peut affaiblir votre entreprise face à vos concurrents, fournisseurs et clients. Cela peut entacher la réputation de fiabilité de vos produits ou services sur la durée et ainsi détourner votre clientèle, valeur essentielle du montant de la transaction finale. De plus, en vous plaçant en première ligne avec les différents acteurs de la transaction vous rendez de fait public vos démarches aux yeux de vos concurrents.
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Déléguer pour préparer la transition
S’il n’est pas conseillé d’évoquer votre décision de céder l’entreprise au sein de l’ensemble des salariés dans un premier temps vous ne devez pas vous isoler au sein de l’entreprise mais au contraire placer et organiser des hommes (ou femmes) pour la gestion de l’entreprise ou des relais de décision et compétences. En effet, ceux-ci ou celles-ci vous épauleront lors des moments de difficultés liées à la cession et plus important encore ils (ou elles) vous seront précieux lors de la transition avec la nouvelle équipe dirigeante. Ainsi, cette nouvelle organisation vient augmenter la valeur finale de la transaction.
Le deuxième type d’erreurs que l’on rencontre lors d’un processus de cession est souvent le manque de préparation.
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Se préparer soi-même
Vendre son entreprise est un acte délicat puisqu’elle représente pour vous les réussites et difficultés qui ont jalonnées votre parcours professionnel sur les longues années précédentes. Il s’agit alors de gérer du mieux possible émotionnellement, ce moment majeur qui conditionnera la suite des évènements. L’entrepreneur cédant connaît un certain vide dans son agenda. Les tracas et difficultés liés à la gestion d’une entreprise peuvent créer un vide pour vous-même avec des conséquences sur votre entourage. Préparez-vous donc psychologiquement et réfléchissez au préalable à vos futurs défis et activités, une fois la cession effectuée.
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Préparer l’entreprise
Tout comme vous avez toujours su commercialiser vos produits et/ou services, il s’agit désormais de faire en sorte que votre entreprise se présente sous ses meilleurs jours pour attirer des propositions de reprise nombreuses et pertinentes. Pour cela, vous devez constituer un dossier de présentation de votre entreprise solide et pertinent pour afficher les atouts, faiblesses et les axes de développement possibles de votre entreprise pour être armer lors des négociations. Cette réflexion pourra déboucher sur des conseils dits stratégiques de réorganisations de d’amélioration des faiblesses détectées en amont de la transaction.
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Préparer l’après-cession
La valeur de l’entreprise lors de la transmission dépend des risques encourus au moment de la transition, pour le repreneur. Ainsi, le cédant doit déminer les éventuelles frictions pour valoriser la transaction en évitant que le changement de dirigeants n’affecte les relations avec les clients, les fournisseurs et les salariés de l’entreprise cédée. il est d’usage que le cédant reste un certain laps de temps pour faciliter la transition.
IL sera aussi nécessaire, d anticiper et d’optimiser les aspects fiscaux et patrimoniaux de l’opération pour réduire au maximum l’imposition finale.
Enfin, la manière de conduire les négociations va être un élément déterminant autant pour accélérer le timing de la transaction que pour fixer le prix final.
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Ne rien cacher
Les différents candidats sélectionnés pour reprendre votre société ont besoin d’avoir accès à tous les documents financiers et juridiques pour avancer dans le processus de la vente. Le fait de dévoiler progressivement des éléments est à votre avantage et vous permet de préserver la confidentialité de l’opération. Le fait d’être intègre quant à la présentation de son entreprise est une condition sine qua non pour mener à bien les négociations. Les moindres doutes au cours des différentes étapes du processus ralentiront ou pire annuleront le processus de vente engagé.
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Faire preuve de flexibilité
Les demandes des candidats à la reprise peuvent être nombreuses. Reprendre une entreprise n’est pas un acte anodin. Le repreneur devra être certain de faire le bon choix et d’avancer en toute sérénité. Il est, ainsi, conseillé de fournir à ceux-ci tous les documents dont ils ont besoin pour accélérer leur décision et leurs démarches. Est souvent souhaité une période de transition pour accompagner le passage de témoin entre les deux équipes dirigeantes, ainsi le fait que vous soyez disponible pour aider le repreneur à développer l’entreprise permet de valoriser l’offre et vos rapports avec les candidats à la reprise.
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Ne pas se précipiter en signant des papiers inappropriés. (L.O.I, exclusivité, promesse)
Lorsque le meilleur repreneur possible est déniché, il est recommandé d’accélérer le tempo des dernières étapes surtout lorsque la recherche des candidats a été longue. Quatre documents vont alors venir rythmer l’avancement du processus de vente. La lettre d’intention (L.O.I) pour se lier juridiquement tout en pouvant à tout moment freiner les discussions, le protocole d’accord qui entérine le prix de vente, la garantie de passif pour face à d’éventuelles dettes antérieures à la cession qui apparaitraient, et enfin l’acte de cession qui achève le processus de vente avec le transfert les titres appelé « Closing ».
Là aussi se faire accompagner vous permet de faire face à toutes les éventualités dans ce domaine juridique.
Voici donc les recommandations et erreurs à ne pas commettre quand on a décidé d’aborder ce processus de cession ou de transmission de son entrepris e, qui est un acte aussi important que la création et la vie de l’entreprise, vécue précédemment par vous-même dirigeant d’entreprise.
Luc BRZUSTOWSKI Partner Manager Rhône Alpes
Martin COSTANTINI Junior Actoria Paris
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Au Luxembourg, vendre son entreprise à un repreneur étranger permet d’élargir ses perspectives et ses opportunités. Encore faut-il savoir où aller les chercher et comment négocier.
Quels sont les défis auxquels sont confrontés les PME familiales suisse quand il s’agit de leur transmission ?
Face aux défis structurels tels que que la recherche d’innovation, la digitalisation, la réponse aux enjeux environnementaux et sociaux, la gouvernance ou encore le recrutement de talents, la question de la relève est souvent éludée.
L’enjeu est d’importance : transmettre son entreprise constitue une étape décisive et critique de la vie d’un entrepreneur. Un sujet sensible comportant de nombreuses implications personnelles. Celles-ci entrainant souvent l’intervention de facteurs plus émotionnels et psychologiques dans la gestion de la transmission.
Dans les PME familiales, le dirigeant, s’il n’est pas le pionner ou le 1er de la dynastie possède malgré tout une aura dans l’entreprise qui dépasse son rôle. Il incarne au delà des valeurs, l’histoire, l’héritage, la vision et finalement le sens de l’entreprise. Porteur de sa raison d’être et de son mythe fondateur il est un pilier du capital immatériel de son entreprise.
Dans ce contexte très particulier, la réflexion de la succession doit prendre en compte la valeur immatérielle de l’entreprise mais également les aspects patrimoniaux et familiaux spécifiques.
Cette analyse multifactorielle réalisée conjointement par notre équipe d’experts de la transmission des PME et par nos partenaires dans la gestion de fortune permet d’établir un Plan de Continuité de l’entreprise intégrant les paramètres de transmission et de succession.
La spécificité des PME familiales, de part l’importance des valeurs associées à leur histoire et de part, leur mode de gouvernance et de management, les conduit souvent à être au bénéfice d’un capital immatériel fort. Rarement estimé et peu valorisé, il s’agit cependant d’un levier de valorisation financière et de performance non négligeable.
Impact des parties-prenantes et vision trangénérationnelle
Élaborer une vision transgénérationnelle est essentiel pour pérenniser la valeur patrimoniale et immatérielle de l’entreprise. En effet, le fondateur porte souvent à lui seul la raison d’être de l’entreprise.
Pourtant, seul 46 % des PME familiales ont consigné par écrit leurs valeurs et leurs objectifs. La plupart du temps, elles n’ont pas encore pris conscience de l’impact de leurs valeurs et de la plus-value associée.
Elles gagneraient à comprendre le rôle que jouent les valeurs dans leur réussite, à les formaliser et à évaluer la culture d’entreprise résultante associée.
Les entreprises qui capitalisent sur leur valeur patrimoniale enregistre souvent de meilleurs résultats et sont plus pérennes. Il s’agit d’un véritable atout en termes de recrutement de talents, de performance, de valorisation lors d’une transmission externe au cercle familiale et un gage de longévité de l’entreprise. Certaines pourront prétendre au titre d’entreprise séculaire.
Les spécificités des PME familiale s’illustrent également par leur vision de l’entreprenariat et d’une économie plus inclusive. La taille humaine des PME et leur gouvernance familiale favorisent une vision plus globale incluant souvent les parties-prenantes de l’entreprise. La finalité même de l’entreprise dépasse celle de gagner de l’argent, elle est acteur de la société dans son ensemble et entend offrir ses services de façon durable. Ainsi, l’impact de la transmission sur les partenaires commerciaux est un facteur pris très au sérieux. L’implication sociétale peut ainsi devenir également un facteur de pression au moment de la cession de l’entreprise.
La relève
Bien souvent les héritiers travaillent dans l’entreprise. Pour autant, les transmissions dans le cadre familiale s’amenuisent au fil des ans pour représenter en moyenne moins d’une transmission sur deux. Beaucoup de raisons que je ne développerais pas ici expliquent ce net recul.
Plus de la moitié des PME sont cédées à des repreneurs extérieurs à la famille : “le taux de transmission aux héritiers oscille entre 30 % et 50 %”. *
Bien que 74% des chefs d’entreprise souhaitent conserver l’entreprise comme valeur patrimoniale de la famille ou tout du moins qu’elle reste dans la famille (66%), seul 13 % des entrepreneurs disposent d’un plan de succession formalisé et communiqué. *
Certains se sont très certainement penchés dans les grandes lignes sur les questions de succession. Cependant ces réflexions peinent très souvent à prendre un chemin plus pragmatique et concret.
En effet, selon une étude de PwC Suisse publiée en 2019 * :
– 47% ne disposent d’aucun plan de succession formalisé et communiqué
– 38% disposent d’un plan mais sans l’avoir consigné par écrit
– 22% ont un plan de succession sans en avoir discuté avec les membres de la famille.
Comment expliquer cette absence de préparation ?
Comme dévoilé dans l’introduction, la relève est souvent éludée pour deux raisons principales :
- La première est le temps et les moyens : ce sujet passe derrière la gestion de nombreux autres sujets d’importance pour la gestion de l’entreprise. Dans des contextes d’incertitudes économiques le sujet est souvent remis à plus tard. C’est un sujet que nous avons d’ailleurs abordé dans notre livre blanc : “Covid19 : Faut-il mettre aux oubliettes son projet de transmission.”.
- La deuxième est que le sujet est délicat à traiter de part ses implications personnelles, familiales et patrimoniales. Les implications personnelles sont d’autant plus importantes qu’il s’agit de la 2ème ou 3ème génération. Ne pas pouvoir transmettre la direction à la prochaine génération est souvent perçue comme un échec et une soufLuxembourg pour les entrepreneurs. Que va t-il advenir de cette renommée acquise au fil des ans et à la force du poignet ? Enfin, les règlementations des successions sont accompagnées souvent de craintes liées à la méconnaissance de ces règles ou encore aux potentiels conflits familiaux que cela pourrait générer.
Comment y remédier ?
Dans un premier temps,
Il s’agit de remettre à sa place l’importance et la criticité du sujet pour définir sa posture stratégique.
Préparer un Plan de Continuité de son entreprise qui inclut une stratégie de transmission et de succession est la première des démarches RSE que devraient accomplir un entrepreneur.
Il s’agit ici d’incarner sa responsabilité devant le capital matériel et immatériel de son entreprise.
Réfléchir à la transmission de ce capital s’est s’inscrire dans une démarche de pérennité et de résilience des hommes et de l’économie.
Préparer cette réflexion, c’est s’inscrire dans une vision à long terme. C’est créer le terreau favorable à une transmission de la raison d’être et des valeurs à travers la mise en œuvre d’une vision transgénérationelle. Inscrire l’entreprise dans la durée en capitalisant sur son histoire : son mythe fondateur, sa vision et ses missions.
Dans un deuxième temps,
Il s’agit de prendre le temps de la réflexion et de la formalisation. Comme souvent, c’est en échangeant, en partageant son point de vue et ses idées à des tiers, que l’idée s’établit avec plus de précision dans une ambiance de concertation qui est toujours favorable par la suite.
En particulier, quand vous avez l’opportunité d’échanger conjointement avec des experts de la transmission d’entreprise et de la gestion de fortune privée et commerciale. C’est l’occasion de lever les zones d’incertitudes et de doutes et ainsi de gagner en visibilité et en confiance.
Actoria offre à travers son Diagnostic 360 la possibilité de mettre en œuvre une démarche visant à faire migrer le capital immatériel incarné par la famille (personnes) vers l’entreprise.
Nos outils d’analyse permettent de :
– Mettre en avant la valeur immatérielle de l’entreprise. Cette formalisation permet de “rendre tangible l’intangible “. Non seulement elle augmente la valeur financière de l’entreprise mais permet de consolider la transmission qu’elle soit réalisée dans le cercle familial (FBO) ou à l’extérieur de celui-ci (MBO, MBI).
– Prendre en considération les critères ESG (RSE) avec des outils spécifiques adaptés aux structures de gouvernance familiales. Véritable point fort, structurant pour l’évolution et la mis en avant des performances des l’entreprise dans un contexte de fortes attentes de la part des parties prenantes et des investisseurs.
Il est nécessaire de comprendre qu’avant d’être un projet de transmission ; il s’agit avant tout d’un projet qui permet de garantir l’évolution pérenne de l’entreprise.
Cette approche permet entre autres de désensibiliser les futurs débats d’approches trop personnelles.
Cet accompagnement sur le long terme dans ce passage de témoin est le garant d’une forme de sérénité non seulement pour l’entrepreneur, pour ses proches mais également pour ses collaborateurs.
La vision d’Actoria
Nous avons cette même sensibilité entrepreneuriale et cette même considération pour le capital humain et la valeur patrimonial.
Avec un code de conduite de projet exigeant reposant sur une confidentialité absolue, une intégrité irréprochable et l’excellence de nos savoir-faire, nous avons à cœur de déployer toute notre créativité pour vous offrir des solutions sur-mesure et innovantes.
Nous avons développé au fil des ans une méthodologie pour vous accompagner dans cette étape déterminante de la vie de votre entreprise.
ACTORIA s’inscrit comme partenaire des entreprises dans un objectif de développement pérenne permettant à la fois à l’entreprise, à l’entrepreneur mais aussi aux parties-prenantes (salariés, clients, fournisseurs, partenaires) de contribuer à ce développement.
Notre rôle est d’être au cœur du tissu économique et d’en favoriser sa résilience, pérenniser la transmission de vos savoir-faire et les valoriser.
Nous orchestrons aussi pour vous les meilleurs experts de prévoyance et de gestion de fortune pour répondre aux spécificités de votre entreprise familiale.
Il est urgent d’attendre ou d’agir c’est selon …
par Isabelle Bonnal, Directrice de la communication Actoria
Isabelle Bonnal est diplômée en communication d’entreprise (Université de Paris V), en techniques de négociation Commerciale (Novancia), avec une spécialisation dans les industries de la création (IFM) et certifiée Barrett Values Centre, elle accompagne des entreprises en Europe (secteurs finance, immobilier, communication,…) dans la définition dans leur identité culturelle, leur gouvernance et leur communication dans une approche inclusive prenant en compte toutes les parties prenantes (employés, partenaires, clients, fournisseurs) et l’approche ESG.
Remerciements au dessinateur Gabs, pour l’utilisation de son illustration de la couverture du livre “Petit Dictionnaire d’expression biblique” paru aux éditions du Cerf.
Source*
https://www.pwc.ch/fr/publications/2019/etude-entreprises-familiales-suisses-FamBiz-2019_A4-web.pdf
Votre enthousiasme ne suffit pas pour vendre une entreprise. Vous devrez baser la négociation sur des arguments tangibles et les chiffres clés qui traduisent la performance de votre structure.
Martine Landon vient de rejoindre le cabinet pour y prendre les responsabilités de Directrice du pôle Repreneurs dans le Groupe Actoria et contribuer au développement de la nouvelle structure ACTINVEST dont la mission est d’accompagner les repreneurs d’entreprises dans leur parcours d’acquisition.
Dotée d’une formation scientifique et commerciale elle propose aux entreprises ses compétences acquises au sein de grands groupes ou de starts up dans lesquelles elle a assuré des fonctions de Direction mais aussi opérationnelle et d’actionnaire.
Elle maitrise divers environnements tels que l’industrie, les logiciels/l’informatique, le Luxe, la Distribution et dernièrement le segment des dispositifs médicaux. Elle y a développé de nouveaux produits et développer de nouveaux marchés dans des secteurs concurrentiels.
Sa connaissance de ces secteurs d’activité sera un des atouts pour accompagner la structure dans son développement international et diagnostiquer les points forts et les points faibles des cibles et, l’adéquation cibles/repreneurs.
La transmission d’entreprise soulève de nombreux enjeux, pour l’avenir du cédant et la structure elle-même. Il convient de poser les questions à la fois sociales et fiscales dont les réponses influencent totalement la transaction. Read more
Vous hésitez à vendre votre entreprise ?
Vendez votre entreprise avec une garantie de résultats
A compter du 1er janvier 2017, le groupe Actoria sera le premier acteur à proposer une garantie de résultats sur la présentation de repreneurs pour votre entreprise.
Nous souhaitons en effet vous montrer que nous sommes persuadés de la qualité de notre prestation et vous rembourserons les frais de rédaction du dossier de présentation de votre entreprise si un minimum de 2 repreneurs sérieux ne vous sont pas présentés dans un délai de 6 mois.
N’hésitez-pas à nous contacter pour une première estimation gratuite de votre entreprise – contact secrétariat : [email protected]
Communiqué : Actoria accompagne la cession de GOECO
Le 25 mai 2016,
ACTORIA a accompagné les dirigeants de la société GOECO dans sa recherche de repreneurs et dans la préparation de la cession du groupe.
GOECO, société spécialisée dans l’isolation en sous-face de dalle, est basé en Alsace. Créé en 2011, son chiffre d’affaires a connu une forte progression de son activité.
La préparation de la transmission a été réalisée en 2013 et la cession définitive a été conclue en avril 2016. GOECO a été racheté par un acteur important de la promotion immobilière basé dans l’est de la Luxembourg et désireux de réaliser une intégration verticale lui permettant un contrôle de ses coûts.
Acteurs de cette mission (Luxembourg société) : Didier Muller, ACTORIA Strasbourg.
Contact :
Actoria Strasbourg
4 place Arnold
67 000 STRASBOURG
Email : [email protected]
Tel : +33 (0)6 07 25 93 88
Pourquoi la réalisation d’un audit d’acquisition ou due diligence est si capitale si l’on veut vraiment réussir sa reprise d’entreprise ? En tant qu’acquéreur, vous avez préalablement défini une cible et obtenu les premiers renseignements sur l’entreprise que vous envisagez de racheter. Seul un audit complet vous permettra de valider votre décision. On vous explique pourquoi éviter de faire l’impasse sur un audit d’acquisition.
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À quoi sert l’audit d’acquisition ?
Son but : réunir l’ensemble des données financières, juridiques, fiscales et sociales sur l’entreprise convoitée, et détecter les risques éventuels qu’encourent votre cible, ainsi que les potentialités de votre acquisition. Ces informations doivent vous permettent de conforter votre intention d’achat et valoriser le plus justement votre cible. Ou au contraire de renoncer à l’acquisition, car vous estimerez les risques bien trop élevés. L’enjeu est de taille, cela vaut donc la peine d’investir du temps dans cette étape !
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Se prémunir d’un éventuel contentieux
La réalisation d’un audit d’acquisition n’est pas obligatoire. Vous seul pouvez décider de formaliser ou pas cette étape. En son absence, votre responsabilité peut être engagée si vous contestez le prix de cession par exemple ; autant réduire le risque d’un contentieux possible. En faisant l’impasse sur un audit complet, vous prenez des risques inutiles…
Rappelez-vous aussi que les éléments en votre possession vous ont été transmis par le cédant, donc sujets à caution. il faut donc éviter de faire l’impasse sur un audit d’acquisition ou due diligence !
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Audit simple ou audit plus complexe
Si vous envisagez de racheter un fonds de commerce, l’audit est simplifié puisque vous reprenez de « zéro » l’activité du cédant. En effet, en tant qu’acheteur, vous ne reprenez ni les dettes, ni les créances de l’entreprise. Vous achetez uniquement l’actif (le nom commercial, la clientèle, le droit au bail, le matériel et éventuellement des marchandises).
Attention cependant de vérifier tous les paramètres juridiques en lien avec l’activité proprement dite (obligations réglementaires) ainsi que le volet « social », à savoir la reprise de tous les contrats de travail, car vous vous obligez à reprendre le personnel avec son ancienneté et ses avantages acquis.
En cas d’une cession de titres de société, il vous faut, contrairement à l’achat d’un fonds de commerce, procéder à un audit approfondi et plus complexe. Actoria Luxembourg possède précisément l’ensemble des compétences financières, économiques, juridiques, fiscales et techniques pour vous assister durant toute la phase d’audit.
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Étendue de l’audit
Différents aspects de l’entreprise sont à auditer et ils ont tous leur importance. Or, l’aspect lié aux ressources humaines est parfois mis de côté, à tort. Pour lancer votre projet, vous aurez besoin d’obtenir la confiance des collaborateurs clés de l’entreprise. Assurez-vous de leur adhésion. Si des risques de démission existent, soyez serein sur l’existence de solutions de substitution.
L’audit comptable et financier a pour objectif de confirmer que le modèle économique que vous envisagez est réaliste au regard des chiffres et des informations collectées. Parmi les éléments importants, vérifiez les états de trésorerie, l’évolution future du Besoin en fonds de roulement (BFR), les échéances de remboursement de la dette, ou encore l’examen des comptes clients.
Outre les aspects fiscaux et juridiques, ne négligez pas l’audit social. Les contrats de travail, les rémunérations des dirigeants et salariés, la convention collective, les accords conclus en interne seront épluchés. Enfin, n’oubliez pas les sujets liés à l’environnement. Les acquéreurs, notamment anglo-saxons, y sont de plus en plus sensibles. Les normes ISO en matière de certifications environnementales englobent une variété de sujets qui peuvent concerner l’entreprise ciblée : des installations de production aux moyens logistiques.
Vous avez le projet d’acquérir une PME ? La réalisation d’un audit d’acquisition est une phase cruciale et indispensable, contactez les experts Actoria pour vous accompagner.
Actoria Ouest Transmission entreprises
Dans le cadre de son développement, Actoria Luxembourg ouvre une antenne dans l’Ouest de la Luxembourg afin de se rapprocher de ses clients situés en Bretagne, Vendée et Basse Normandie.
La direction de se bureau est assurée par Mr Jean-Christophe Dubos.
Dubos Jean-Christophe 46 ans diplômé des DCF ( dirigeant des commerciaux de Luxembourg) et Diplôme de l’ institut François Bocquet.Actoria Ouest Transm
Il a exercé dans le domaine de la transformation de produits synthétiques, puis a effectué des missions de recherche pour les groupes Hutchinson automobile, Valéo, MPO disques.
Par ailleurs il a élaboré des produits dans les domaines médicaux (centre de l’arche, laboratoires Vedalab et Imv)
Il a en outre exercé comme cadre dirigeant dans le domaine de la distribution de produits d’ameublement.
Plus récemment, il a étudié de nouvelles méthodes de management et se forme a la médiation professionnelle ( CPMN).
En 2013 crée son cabinet de conseil en stratégie et cession d ‘entreprise, puis rejoint le groupe Actoria pour apporter son expertise en négociations difficiles et négociations émotionnelles.
Passionné par la stratégie, il a étudié l’ art de la guerre (SUN TZU) et a rejoint le réseau de l’école de guerre économique.
Actoria Ouest Luxembourg
40. rue st blaise BP 173
61000 Alençon cedex.
+33 (0)2 33 28 11 45
+33 (0)7 86 62 64 80
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On vous propose de racheter votre business… Mais le moment est-il opportun pour transmettre votre entreprise ? Analysez bien le marché des fusions et acquisitions et gardez l’esprit ouvert face aux opportunités.
Lorsque vous avez décidez que c’est le moment opportun pour céder votre entreprise, l’une des premières questions qui vous traverse l’esprit est la suivante :
Est-ce qu’il est vraiment intéressant de cibler les repreneurs potentiels ?
Les repreneurs potentiels peuvent être des entreprises, des fonds d’investissements ou encore des particuliers. En fonction de votre stratégie et de votre motivation, vous pouvez être confrontés à des avantages et des inconvénients qui font que vous préférerez une certaine approche de ciblage pour réussir votre transmission.
Comprendre les possibilités qui s’offrent à vous en tant que cédant
Pour commencer, lorsque votre entreprise est sur le marché pour être vendue, en moyenne 25 repreneurs portent intérêt à votre entreprise. A la fin du processus de sélection, vous rentrez en négociation avec une seule partie.
Entre ces deux moments clés, il y a une multitude d’options possibles. Il s’avère qu’après plusieurs années d’expérience : il existe une approche idéale vecteur d’équilibre optimal entre coûts et avantages pour mener à bien une cession. Afin d’y parvenir, il est important de savoir prendre les bonnes décisions dès le début de l’opération. Cela vous aidera en effet à obtenir le meilleur résultat. Pour cela, il faut savoir évaluer soigneusement et objectivement le contexte de votre entreprise, ses opportunités et les repreneurs potentiels.
Vendre le plus cher, le plus rapidement possible tout en préservant la confidentialité
Tout d’abord, si de nombreux facteurs d’influence sont en jeu, trois priorités essentielles des cédants influent systématiquement sur l’approche du ciblage. En tant que cédant, vous cherchez certainement à optimiser la valeur de votre entreprise dans les délais les plus courts possible et ce en toute confidentialité.
En gardant à l’esprit les trois priorités suivantes : valeur, rapidité et confidentialité, vous pourrez intuitivement conclure que le mieux serait d’avoir une liste contenant des repreneurs ciblés.
Il se peut même que vous soyez sur le point de négocier un accord avec un repreneur potentiel et pourquoi pas envisager également des pourparlers exclusifs avec ce repreneur unique, qui, à première vue, pourrait répondre avec succès à vos trois priorités. Ici, il est recommandé de prendre le temps de réfléchir !
Bien qu’une liste de repreneurs potentiels ciblés soit une option à prendre en compte et à examiner d’une manière approfondie afin de mieux préparer la vente de votre entreprise, il s’est avéré qu’elle ne répondra pas forcément à vos attentes : un processus plus rapide, plus confidentiel et moins stressant. En effet, elle peut tout de même ne pas aboutir à une cession dans les meilleures conditions.
De même, nombreux sont ceux qui concluent qu’un processus de vente qui permet de contacter un grand nombre de repreneurs peut être le moyen le plus sûr d’augmenter vos chances de créer un jeu concurrentiel. Mais parfois, ce large éventail de repreneurs n’a pas de sens. Cela pourrait nuire à vos autres objectifs en mettant, par exemple, des informations commerciales sensibles entre les mains de vos concurrents.
Ce qu’il vous faut pour garantir ces trois priorités est de préparer un ciblage adéquat qui tient compte de votre contexte dans son intégralité et de vos objectifs aussi bien professionnels que personnels.
4 questions fondamentales à se poser pour bien cibler ses repreneurs cibles
1- Y a-t-il un petit nombre de repreneurs qui seraient raisonnablement intéressés et qui ont les moyens financiers de payer un juste prix pour votre entreprise ?
Dans certaines situations, il est évident qu’il n’y a qu’une poignée de repreneurs qui tireront de grandes synergies de l’acquisition. Souvent, cette poignée comprend des concurrents clés. Si ces acteurs ont également la capacité financière de payer un juste prix, un ciblage plus large peut ne pas ajouter de valeur supplémentaire à votre processus de vente.
Parmi tous les repreneurs qui vous entourent, il y en a que quelques-uns qui captent les synergies et la création de valeur qu’ils peuvent tirer grâce à l’acquisition de votre entreprise.
Ce sont dans la majorité du temps des concurrents clés d’ailleurs. Dans le cas où ces mêmes repreneurs disposent de la capacité financière à payer le prix qui reflète le mieux le potentiel de croissance et la valeur de votre entreprise, un processus très large n’est pas forcément utile.
2- Est-ce que votre entreprise nécessite des connaissances sectorielles ou techniques spécifiques pour pour préserver sa pérennité après une acquisition éventuelle ?
Dans certains cas, il existe une longue liste de repreneurs potentiels, mais nous savons qu’un acheteur a besoin d’une connaissance spécifique du secteur pour se sentir à l’aise en due diligence et, en fin de compte, conclure l’affaire. C’est souvent le cas si votre secteur d’activité est un marché ou les conditions réglementaires évoluent rapidement et, de ce fait, nous nous concentrerons probablement uniquement sur les acheteurs qui ont l’expérience de votre marché
Si votre secteur ne fait par partie de ce cas et qu’il est accessible même par ceux qui ne sont pas des spécialistes du secteur, cela signifie généralement qu’il existe une liste plus longue de candidat à la reprise de votre entreprise. Par conséquent, un ciblage plus large pourrait être votre meilleure voie pour vous assurer de débusquer le meilleur repreneur.
3- Êtes-vous sûr que, parmi la courte liste de repreneurs, il y aura plusieurs candidats qui feront des offres intéressantes ?
Si vous n’avez pas confiance, il faut envisager sérieusement un ciblage plus large. Parfois, les repreneurs censés être les plus intéressés et les plus offensifs ne se comportent pas d’une manière attendue.
En fait, parfois même, ils ne font pas du tout d’offre.
Les décisions d’investissement des repreneurs sont influencées par de nombreux facteurs – ceux qui sont liés à l’entreprise ou même ceux qui dans certains cas n’ont aucun rapport avec.
Ils peuvent être préoccupés par une autre acquisition ou un projet important et n’ont tout simplement pas le temps de se concentrer sur l’affaire que vous avez leur avez présentée. Il est essentiel de suivre vos repreneurs de près pour que la procédure d’appel d’offres se déroule en toute confiance. Le fait de n’approcher que cinq repreneur et de ne recevoir qu’une seule offre est loin d’être idéal pour créer une tension concurrentielle.
4- Est-il préjudiciable pour votre entreprise de partager des informations confidentielles avec plusieurs acteurs ?
Dans le cas où le partage des informations confidentielles risque de nuire à votre activité, un ciblage plus restreint s’impose. En règle générale, vous vous adresserez à un petit nombre de repreneurs et veillerez à limiter dans la mesure du possible la divulgation de ces informations aux parties concernées afin de préserver votre activité.
Quel est le meilleur ciblage pour réussir la transmission de votre entreprise ?
Voici un petit tableau qui illustre l’impact du ciblage sur les points développés ci-dessus en fonction des besoins pour vous aider à choisir ce qui vous convient le mieux :
En résumé, ce dont vous avez besoin pour déterminer correctement votre approche est une analyse rigoureuse de vos repreneurs potentiels, l’expérience des habitudes des acheteurs dans d’autres situations de transaction ainsi que des informations supplémentaires sur le marché. il est important d’étudier et d’analyser d’une manière rigoureuse vos repreneurs potentiels. Pour ce faire, un expert en transmission d’entreprise vous permettra de gagner du temps, d’optimiser votre approche et vous offrira les meilleures chances de conclure un accord qui atteigne ou dépasse tous vos objectifs.
Construire un business prend du temps. Vendre son entreprise individuelle dans les règles de l’art, aussi. Voici 8 éléments à prendre en compte lorsque l’heure de la retraite approche.
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Comment bien préparer son entreprise pour la transmettre en 2019 ?
En ce début d’année et de sortie des bilans de l’an passé, il est tout à fait normal, lorsque l’on est chef d’entreprise, de faire un point et de s’interroger sur son avenir à la tête d’une entreprise que l’on a créé il y a déjà plusieurs années.
Et pourquoi ne pas envisager de transmettre son entreprise en 2017 ?
Souvent les experts en transmission d’entreprise disent qu’il est impératif de préparer son entreprise avant de la transmettre.
Ils expliquent longuement la justification de cette préparation en argumentant sur tous les avantages de la préparation mais peu d’entre eux expliquent très concrètement comment bien préparer son entreprise et quelles sont les étapes indispensables à une bonne préparation.
Alors pourquoi est-il si indispensable de préparer sa transmission et quelles conséquences cela peut avoir de ne pas préparer l’opération si vous envisagez de transmettre son entreprise en 2017 ?
La réponse à cette question est à relier avec les objectifs de transmission que se fixe le chef d’entreprise :
. Trouver le meilleur repreneur pour son entreprise
. Céder son entreprise au prix le plus élevé
. Quitter sereinement son entreprise et assurer une transition en douceur
. Garantir la pérennité de son entreprise.
Et bien pour répondre à ces objectifs, il n’y a pas d’autres solutions que de préparer l’opération.
Sans réaliser ce travail de préparation, il y a de fortes de chance qu’il soit impossible d’attirer de manière magnétique de bons repreneurs, de recevoir des propositions financières décentes en l’absence de justification technique du prix de demandé, de quitter sereinement son entreprise car il devra accompagner longtemps le repreneur, et plus globalement la transmission ne va pas se passer en douceur.
Il est donc important de préparer sa transmission d’entreprise et le plus tôt possible.
J’entends beaucoup d’experts dire qu’il faut déclencher la préparation 5 à 10 ans avant de transmettre une PME et dans l’absolu ils ont parfaitement raison.
Mais d’un point de vue réaliste, je dirais qu’il faut préparer 1 à 2 ans minimum avant de lancer l’opération pour avoir le temps nécessaire de préparer l’entreprise, le dirigeant et l’opération elle-même.
Pour que vous soyez convaincu de l’impérieuse nécessité de préparer la cession d’une entreprise, étudions ce qui va ce se passer si le cédant ne prépare pas sa transmission.
Souvent le cédant après plusieurs années à la tête de son entreprise, ne voit plus de manière objective dans quelle situation se trouve son entreprise. Il a la tête dans le guidon et n’arrive plus à prendre du recul. Il ne voit plus les faiblesses et menaces qui pèsent sur son entreprise mais parfois ne voit pas non plus les valeurs ajoutées, les forces, les opportunités de développement de son entreprise.
Afin que l’entreprise ou son dirigeant partant ne soient victimes de mauvaises surprises après la réalisation de la cession, les conséquences et les risques liés à l’opération doivent être appréhendées suffisamment tôt :
. au niveau du dirigeant: transmettre pour faire quoi après ? quelles sont les conséquences financières, patrimoniales, fiscales de l’opération ? changement de vie ?
. au niveau de l’entreprise : une autre personne peut-elle prendre facilement la place du dirigeant sans modifier l’organisation de l’entreprise ? Existe-t-il un système de délégation dans l’entreprise qui permette de faciliter la reprise ? De même existe-t-il un système informatique de suivi de la gestion de commerciale, production, sociale ou financière ?
. au niveau de l’opération elle-même : la cédant dispose t-il minimum d’outils pour argumenter pendant les négociations avec les repreneurs tels qu’une évaluation financière, un diagnostic des forces et faiblesses de l’entreprise qui va mettre en avant les indicateurs de performance de l’entreprise, et un dossier de présentation ? sans ces éléments, le cédant risque d’être pris comme un véritable amateur par les repreneurs.
En résumé et pour faire simple, il y a ainsi 3 choses à préparer :
. Le ou les dirigeants actionnaires partants
. L’entreprise
. L’opération elle-même de cession
Le 1er point de la préparation : le ou les dirigeants partants
Pour la plupart des propriétaires d’entreprises, la transmission d’une entreprise est un événement unique dans une vie, sans doute après la création de son entreprise, l’un des évènements les plus importants de sa vie professionnelle.
Alors il est important de prendre du recul et d’analyser objectivement sa décision et surtout les conséquences de sa décision.
Le départ de son entreprise va avoir des conséquences qui ne sont pas neutres sur la vie du chef d’entreprise.
Il est important de se poser un moment pour réfléchir aux conséquences :
. sur le plan financier (gain d’un côté et encore fiscalisé !, perte de revenus de l’autre),
. le plan mode vie (nouveau projet professionnel ou interruption de son activité professionnelle mais alors pourquoi faire ?,
. familial (déménagement prévu, si enfant son impliqué dans l’entreprise, quel est leur sort ?)
2e point de la préparation : l’entreprise.
Certains facteurs peuvent réduire la valeur de son entreprise dans une transmission ou même empêcher totalement la transmission de se réaliser.
Par exemple : Existe t-il des contrats qui ne sont pas cessibles ? L’accord de la collectivité des actionnaires sur le projet a-t-il été obtenu ? Son clientèle est-elle concentrée sur quelques clients ?
Si la réponse est « oui » à l’une de ces questions il pourrait y avoir quelques problèmes sur la table à régler avant de transmettre…
Ils peuvent sans doute être corrigés, mais cela prend du temps.
Il est donc important d’identifier les problèmes qui peuvent être repérés facilement par tout repreneur, de les corriger avant de transmettre et si ce n’est pas le cas, de les annoncer aux repreneurs potentiels ainsi que les solutions progressivement mises en place.
Une bonne technique est de se mettre à la place d’un repreneur qui va réaliser un audit : il faut passer au crible sa gestion et enlever tous les cadavres des placards, nettoyer son entreprise, pas seulement au sens propre ses bureaux ou installations mais aussi au sens figuré au niveau de son organisation, sa gestion, sa structure.
3e point de la préparation : Concernant l’opération de cession elle-même
Le cédant ne doit pas foncer tête baissée dans la recherche d’un repreneur sans disposer d’outils indispensables.
Au minimum il doit disposer de 3 outils avant de déclencher l’opération et cela quelque soit la taille de son entreprise, petite moyenne ou grande :
En premier lieu il doit faire réaliser par expert en transmission d’entreprise, un diagnostic de son entreprise afin de mettre en avant les indicateurs de performance de l’entreprise sur au moins 3 années.
Il s’agit ici d’identifier les forces et faiblesses de son entreprise mais aussi les menaces et opportunités.
Cette étape est essentielle car si le cédant ne connait pas bien les atouts, les valeurs ajoutées de son entreprise il ne pourra pas justifier d’une valorisation plus élevée que la valeur financière de son entreprise.
La valeur de son entreprise ne se détermine pas uniquement à partir des données financières. Une entreprise a une notoriété sur son marché, un portefeuille de clients, une expertise dans son secteur, une implantation. Tous ces points doivent être mis en avant et vont souvent justifier une survaleur.
Une fois réalisé le diagnostic de l’entreprise, il est tout aussi nécessaire de faire réaliser par un expert en transmission d’entreprise, une véritable expertise financière de son entreprise afin de connaître sa valeur objective sur le marché.
Cette étape est très complémentaire du diagnostic : l’expertise financière permet de connaître la valeur de l’entreprise à un moment T par exemple au 31 décembre alors que le diagnostic a pour objet l’analyse de la performance dans la durée en général sur une période de 3 à 5 ans. Avec ce document le cédant sera en mesure de techniquement argumenter sur la valeur de son entreprise pendant les négociations et sans cet élément, il ne pourra pas argumenter face à un repreneur qui a toujours effectué une évaluation financière approfondie de son entreprise.
Enfin le cédant doit disposer d’un véritable dossier de présentation qu’il va remettre à des repreneurs potentiels.
Aujourd’hui tous les repreneurs, quelque soit leur profil, un manager, une société en croissance externe ou un fonds d’investissement, demandent un dossier de présentation.
Il s’agit d’un dossier complet sur son entreprise qui met en valeur son historique, son environnement géographique et économique, son positionnement sur son marché, une présentation de ses produits ou services, mais aussi de ses opportunités de développement et de croissance.
Ce dossier présente l’avantage d’une parfaite maitrise de l’information transmise et donc du parfait contrôle de la confidentialité des informations. Il me peut même y avoir plusieurs parties de dossier de présentation remises progressivement.
Un autre avantage est le gain de temps : un bon dossier doit répondre à 99% des questions que se pose un repreneur sur son entreprise.
Si un repreneur confirme son intérêt et souhaite rencontrer le cédant après la lecture du dossier de présentation ce dernier part sur de bonnes bases et va limiter les rendez-vous informatifs au cours desquels il répondra toujours aux mêmes questions sur l’historique de l’entreprise, son marché, ses concurrents, etc…Il vaut mieux garder son énergie pour la phase de négociations et gagner du temps sur la mise en relation avec des repreneurs.
Enfin une dernière chose : n’oublions pas qu’un repreneur n’achète pas le présent encore moins le passé de l’entreprise, il parie sur l’avenir. Donc il est primordial de rester convaincant sur le potentiel de croissance de l’entreprise dans son dossier de présentation.
La négociation est une phase essentielle de la reprise d’entreprise. Elle même se déroule en 5 étapes à suivre et à a respecter. Mode d’emploi pour une transmission réussie.
Transmission d’entreprises Luxembourg , cession PME Fran, reprise entreprise Luxembourg , fusion entreprise Luxembourg , développement entreprise Luxembourg
Dossier de Presse Actoria 2016

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Transmission d’entreprises Luxembourg , cession PME Fran, reprise entreprise Luxembourg , fusion entreprise Luxembourg , développement entreprise Luxembourg
En phase de transmission de votre entreprise, le cédant et le repreneur doivent se faire accompagner d’experts, chacun spécialisé dans une étape du processus.
Transmission d’entreprises Luxembourg , cession PME Fran, reprise entreprise Luxembourg , fusion entreprise Luxembourg , développement entreprise Luxembourg
Le prélèvement forfaitaire unique de 30% sur les revenus et plus-value du capital, ou flat tax, s’appliquerait à partir de 2018 aux revenus du capital. Le taux est de 30% : 12.8% au titre de l’impôt sur le revenu + 17.2% au titre des prélèvements sociaux.
Néanmoins, le contribuable conserve la possibilité d’opter pour l’imposition au barème progressif sans abattement de l’impôt sur le revenu lorsque celui-ci leur est plus favorable que le PFU.
Concernant le chef d’entreprise, les abattements pour durée de détention sont supprimés et le projet de loi de finance offre deux possiblités :
– Une taxation de sa plus-value au prélèvement forfaitaire unique de 30%. (imposition au prélèvement forfaitaire)
– Une taxation de sa plus-value au taux de sa tranche marginale d’imposition, sans abattement pour durée de détention. (imposition au barème)
Seul l’abattement de 500 000€ pour le chef d’entreprise qui part à la retraite à l’occasion de la cession de son entreprise est maintenu jusqu’en 2022. S’il opte pour l’imposition au barème, il ne pourra cumuler le bénéfice de cet abattement fixe avec l’abattement proportionnel pour durée de détention.
Pour finir, il faut retenir une chose : les plus-values de cession d’entreprise seront dorénavant imposables au taux unique de 30% , et il s’agit d’une mauvaise nouvelle pour le chef d’entreprise de PME bénéficiant d’un abattement de 85% pour les PME de moins de 10 ans.
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Entre 2020 et 2030, quelque 200 PME chercheront un repreneur au Luxembourg. ¼ de ces entreprises sont dans le secteur de la construction et un autre ¼ dans celui du commerce. Comme pour ses voisins européens, la transmission d’entreprises est un sujet crucial pour l’économie du pays. Le Luxembourg offre des avantages pour la transmission d’entreprise, quels sont-ils ?
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Un écosystème financier compétitif
Reconnue pour être une place financière de premier choix en Europe, le Luxembourg possède par conséquent un écosystème composé de professionnels de qualité, capables de proposer les meilleures solutions pour aider une famille à structurer son patrimoine. Un point essentiel pour tout dirigeant qui souhaite transmettre son entreprise, avec les conséquences fiscales, juridiques et patrimoniales que sa décision implique.
Le pays propose ainsi un large choix de solutions pour structurer le capital d’une entreprise : des sociétés de participation (Soparfi), des Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF), mais aussi des fonds d’investissements spécialisés (FIS).
Lire aussi : 7 conseils pour votre entreprise familiale
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Des compétences financières internationales
Dans une économie mondialisée, le patrimoine financier des entreprises est de plus en plus dilué, via des montages financiers complexes. Or, par sa position au cœur de l’Europe, le Luxembourg accueille un grand nombre d’entreprises internationales et transfrontalières. Les grandes fortunes, les dirigeants d’entreprises, trouveront donc sur place une expertise internationale pour la transmission du capital financier de l’entreprise.
Rappelons que le Luxembourg est le premier centre de banque privée de la zone euro, et le deuxième plus grand centre de fonds d’investissement au monde après les États-Unis.
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Dispositifs pour le repreneur
Côté repreneur, l’écosystème financier luxembourgeois a su installer une culture forte et stable de la protection des investisseurs. Le Luxembourg est classé AAAA par les agences de notation financière : il dispose d’un environnement fiscal favorable et d’un paysage politique stable. De quoi sécuriser le repreneur lorsqu’il projette son investissement pour reprendre une entreprise.
En particulier, L’Etat luxembourgeois a mis en place des conditions particulières pour accompagner les créateurs et les repreneurs de petites et moyennes entreprises existantes quand il s’agit de leur 1er établissement.
Enfin, le pays possède d’autres atouts pour favoriser la transmission d’entreprise et attirer les investisseurs. Les dividendes perçus par les entreprises sont exonérés de tout impôt et les Soparfi profitent des règles de l’Union Européenne en matière de libre circulation et d’échange. Les revenus issus de la propriété individuelle sont par exemple exemptés d’impôt à hauteur de 80%.
Des arguments qui font du Luxembourg une place fiscalement très appréciée par les chefs d’entreprises. Pour autant, la fiscalité luxembourgeoise n’en est pas moins complexe. Surtout en matière de droit des entreprises. N’hésitez pas à vous faire accompagner par les experts en transmission du cabinet Actoria Luxembourg. Contactez-nous.
Lorsque vous déciderez du moment opportun pour transmettre votre entreprise, l’une des premières questions que vous vous poserez sera de savoir dans quelle mesure votre transmission d’entreprise doit-elle être ciblée. En examinant votre liste de repreneurs potentiels, composée d’autres entreprises, de sociétés d’investissement et de particuliers susceptibles d’être approchés au cours de votre processus de cession, vous constaterez rapidement qu’il y a des avantages et des inconvénients importants à ce processus à la fois étroit et large.
Alors, comment déterminer le nombre de repreneurs à approcher ?
Comprendre vos options en tant que Cédant
En polarisant un peu le processus, nous pouvons dire que vous avez 2 options :
- La vente aux enchères de votre entreprise, votre opportunité est largement communiquée à une longue liste de repreneurs potentiels, généralement plus de 25 parties.
- La négociation avec une seule partie.
Avec une multitude d’options entre les deux, nous savons par expérience qu’il existe un “point idéal” sur ce spectre pour votre affaire, et le fait de prendre les bonnes décisions dès le départ aura une grande influence sur le résultat final. Pour trouver ce point d’attraction, il faut évaluer soigneusement et objectivement votre opportunité, ainsi que son contexte et les repreneurs potentiels.
Anticiper l’interaction entre les priorités
Tout d’abord, si de nombreux facteurs d’influence sont en jeu, trois priorités essentielles influent systématiquement sur l’approche du ciblage :
- vous êtes probablement à la recherche d’une valeur maximale,
- dans un délai court,
- la transaction étant réalisée de la manière la plus confidentielle possible.
En gardant à l’esprit ces trois priorités, valeur, rapidité et confidentialité, vous pourriez intuitivement conclure qu’un processus de cession doit être très ciblé et aborder une liste plus courte de repreneurs potentiels. En fait, il se peut même que vous ayez déjà été approché par un repreneur potentiel qui cherche à négocier un accord. Vous envisagez peut-être des pourparlers exclusifs avec ce repreneur unique, qui, à première vue, pourrait atteindre avec succès vos trois objectifs.
Bien qu’un processus de cession ciblé avec un ou plusieurs repreneurs puisse être la bonne réponse en fin de compte, la question mérite d’être examinée de manière approfondie et délibérée dès le début pour garantir le meilleur résultat possible. C’est pourquoi nous vous conseillons de bien y réfléchir avant de vous engager dans ce processus.
L’expérience nous a montré que, contrairement à ce que vous pourriez croire, un processus de cession ciblé ne vous donnera pas nécessairement le résultat que vous recherchez, un processus plus rapide, moins perturbateur et plus confidentiel. En outre, il peut ne pas aboutir à une valeur maximale pour votre transmission.
De même, nombreux sont ceux qui estiment qu’un processus de cession qui permet de contacter un grand nombre de repreneurs peut être le moyen le plus sûr d’augmenter vos chances de participer à un processus concurrentiel. Mais parfois, ce large éventail de repreneurs n’a pas non plus de sens.
Il pourrait nuire à vos autres objectifs en mettant, par exemple, des informations commerciales sensibles entre les mains de vos concurrents.
En fin de compte, seul un processus correctement structuré permettra certainement d’atteindre vos trois objectifs. Pour bien structurer votre processus, il est essentiel de tenir compte de votre situation de manière approfondie et objective.
4 questions clés pour déterminer la portée du processus d’enchères
Nous vous proposons quelques-unes des questions clés qui peuvent être utilisées pour commencer à déterminer l’étendue de votre processus de cession :
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Existe-t-il un petit nombre de repreneurs qui aurait raisonnablement intérêt et ont les moyens financiers de payer un prix équitable pour votre entreprise ?
Dans certaines situations, il est évident qu’il n’y a qu’une poignée de repreneurs qui profiteront des grandes synergies et de la stratégique de l’acquisition. Souvent, cette poignée comprend des concurrents clés. Si ces acteurs ont également la capacité financière de payer un prix équitable, un processus de plus grande envergure peut ne pas ajouter de valeur supplémentaire à votre opération.
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Votre entreprise est-elle une entreprise pour laquelle une expérience et des connaissances très spécialisées dans le secteur sont nécessaires afin de réussir l’acquisition ?
Dans certains cas, il existe une longue liste de repreneurs potentiels, mais nous savons qu’un repreneur a besoin de connaissances sectorielles spécifiques pour se sentir à l’aise avec les audits puis la reprise. C’est souvent le cas si votre secteur d’activité est un secteur où le marché et la réglementation évoluent rapidement et, de ce fait, il faudra probablement vous concentrer uniquement sur les repreneurs qui sont ” spécialistes “.
Si votre secteur n’est pas soumis à des exigences de connaissances et qu’il est plus facilement compréhensible, même par ceux qui ne sont pas des spécialistes du secteur, cela signifie généralement qu’il existe une liste plus longue de repreneurs qui pourraient être intéressés par votre entreprise à un prix intéressant. Par conséquent, un processus de communication large pourrait être votre meilleure voie pour vous assurer de débusquer le meilleur candidat.
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Êtes-vous sûr que, parmi votre liste restreinte de repreneurs potentiels, il y aura plusieurs candidats qui feront des offres intéressantes ?
Si vous n’êtes pas confiant dans une approche limitée à une liste retreinte de repreneurs, il convient d’envisager sérieusement un processus plus large. Parfois, les repreneurs censés être les plus agressifs ne se comportent pas de cette manière. En fait, de temps en temps, ils ne font pas d’offre du tout. Les décisions d’investissement des repreneurs sont influencées par de nombreux facteurs – ceux qui sont liés à l’entreprise ou même ceux qui sont sans rapport dans certains cas.
Ils peuvent être occupés par une autre acquisition ou un projet important et n’ont tout simplement pas le temps de se concentrer sur l’affaire que vous avez présentée. Il est essentiel de connaître vos repreneurs de près pour que la procédure de négociation se déroule en toute confiance. Le fait de n’approcher que cinq repreneurs et de ne recevoir qu’une seule offre est loin d’être idéal pour créer une tension concurrentielle.
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Est-il préjudiciable pour l’entreprise de partager des informations confidentielles avec de nombreux acteurs ?
Si c’est le cas, une procédure plus ciblée s’impose et, en règle générale, vous vous adressez à un petit nombre de repreneurs en veillant tout particulièrement à limiter autant que possible la divulgation d’informations aux parties concernées.
Quel processus de transmission vous convient le mieux ?
En fin de compte, ce dont vous avez besoin pour déterminer correctement un processus de cession bien ciblé est :
- une analyse rigoureuse de vos repreneurs potentiels,
- l’expérience des habitudes de chaque repreneur individuel dans d’autres situations de cession ainsi que
- des informations supplémentaires sur le marché.
Votre analyse doit tenir compte non seulement des repreneurs évidents, mais aussi de certains repreneurs opportunistes.
Il est surprenant de constater que le repreneur gagnant est souvent une entreprise qui ne figurait pas sur la liste initiale des repreneurs.
L’évaluation et la gestion de plusieurs repreneurs peuvent être difficiles, mais un bon conseiller stratégique comme Actoria, vous guidera dans cette démarche afin de vous donner les meilleures chances de conclure une transaction réussie qui atteigne ou dépasse tous vos objectifs.
Transmettre son entreprise en Luxembourg s’envisage de bien des manières différentes. Faisons le point sur toutes les formules pour trouver le repreneur de votre PME.
Transmettre son entreprise en Luxembourg répond à une succession d’étapes logiques et juridiques : vous avez évalué la valeur objective de la société, réalisé un diagnostic de ses performances et cherché des repreneurs potentiels. Il est temps de se poser la question du montage même de la transmission.
Celui-ci dépend surtout de votre repreneur. Nous avons recensé pour vous les 3 possibilités parmi les plus courantes.
- Transmettre son entreprise à ses enfants
Si vous travaillez avec l’un ou plusieurs de vos enfants, ils ont peut-être l’envie de reprendre le fruit de votre labeur. En Luxembourg, cette solution présente plusieurs avantages fiscaux et économiques. Il est possible de transmettre son entreprise :
- à titre gratuit : la transmission prend la forme d’une donation. Elle est soumise à une fiscalité générale et à des droits de mutation (-50% si le donateur a moins de 70 ans). Pour autant, un abattement est autorisé s’il y a un engagement de la part du repreneur de conserver les titres. De même, si les actifs de l’entreprise n’excèdent pas un certain montant, les plus-values sont exonérées d’impôt. En 2013, on estime 34% des TPE-PME Luxembourgeoises ont été cédées selon cette modalité (CRA).
- à titre onéreux : cette transmission peut prendre plusieurs formes et montages financiers et il est recommandé de faire appel à une société d’experts pour vous accompagner. Ils pourront vous renseigner sur les possibilités de transmission à une société holding, sous la forme d’un OBO, de l’acronyme anglais « Owner By Out ».
- Transmettre son entreprise à un tiers
Au moment de transmettre son entreprise en Luxembourg, le dirigeant d’une petite structure ou d’une PME moyenne n’a parfois pas d’autres choix que celui de chercher un repreneur externe. Il est essentiel alors de proposer aux candidats acquéreurs un véritable projet d’avenir pour la société. Il est opportun aussi de faire appel à un cabinet de spécialistes qui vous accompagnent dans l’ensemble des démarches à effectuer :
- préparation et valorisation de l’entreprise
- présentation de l’entreprise aux candidats acquéreurs
- période des pourparlers avec un acquéreur potentiel
- période d’audit de la société et protocole d’accord qui fixe les modalités d’achat et autres garanties contractuelles
- cession de l’entreprise en présence d’un huissier et dépôt des actes au greffe du tribunal de commerce ainsi qu’au Registre du Commerce et des Sociétés
- droits d’enregistrement
- Transmettre son entreprise en Luxembourg à ses salariés
Si vos salariés sont intéressés, il existe plusieurs modalités permettant de reprendre l’entreprise. Comme ils en connaissent le fonctionnement de l’intérieur, la période de transition est facilitée. En Luxembourg, la transmission aux salariés peut se faire sous la forme d’une donation mais le plus souvent, il s’agit d’une cession qui permet au propriétaire de valoriser son entreprise. Cela peut être :
- un rachat d’entreprise par les salariés : les dirigeants mettent en commun leurs ressources pour acquérir l’entreprise.
- une acquisition par emprunt : les acquéreurs utilisent les actifs de l’entreprise à titre de garantie pour financer l’achat.
Vous l’aurez compris, en Luxembourg, les modalités de transmission d’entreprise sont nombreuses et varient en fonction du profil des acquéreurs. N’hésitez pas à prendre contact avec Actoria.fr qui assiste en moyenne 50 dossiers par an de cession d’entreprise, vente d’entreprise, d’ouverture de capital ou de transmission familiale à travers son équipe de consultants en Europe.
Transmission d’entreprises Luxembourg , cession PME Fran, reprise entreprise Luxembourg , fusion entreprise Luxembourg , développement entreprise Luxembourg
Selon la moyenne européenne, 200 sociétés luxembourgeoises seraient concernées par la transmission d’entreprise dans la décennie à venir. Explications.
En effet, un tiers des dirigeants européens partiront à la retraite dans les 10 prochaines années. Les chefs d’entreprise luxembourgeois n’échappent pas à cette moyenne et doivent donc impérativement préparer leur transmission d’entreprise. Au total, on estime que ces 200 sociétés emploient 7500 à 8000 personnes.
Quand préparer la transmission d’entreprise ?
Entreprise familiale ou non, pour que la transmission d’entreprise se déroule au mieux, elle doit s’anticiper. Les démarches doivent être réalisées en toute transparence. On recommande généralement aux dirigeants de réfléchir à leur succession dès l’âge de 50 ans. Et de prévoir au moins 5 ans pour éviter les transmissions trop brutales.
La transmission d’entreprise en 4 étapes
- Le conseil patrimonial : la transmission d’entreprise a des conséquences directes sur le patrimoine de son dirigeant. Et par conséquent sur son enveloppe imposable. En anticipant la vente d’une PME, il est pourtant possible de diminuer la base taxable. En fonction d’un diagnostic patrimonial, professionnel et personnel, différentes solutions et montages seront préconisés.
- La valorisation de l’entreprise : pour comprendre la valeur de votre société, il convient d’analyser en profondeur les derniers bilans et comptes de résultats. Un expert en transmission d’entreprise pourra vous aider à prendre en compte la valeur des immobilisations, des éléments qui ne sont pas repris dans le bilan, la valeur des stocks, des provisions, l’endettement réel, les différentes opérations, etc.
- L’optimisation organisationnelle et financière: après l’analyse financière des comptes et avant la transmission, il convient de revaloriser l’entreprise. Pour cela, on conseille généralement de revoir son organisation. Petit à petit, le dirigeant se détache des différents processus. Il doit montrer que la structure peut fonctionner sans lui et s’adapter aux nouvelles réalités du monde professionnel. Les experts en transmission d’entreprise apportent aussi des solutions concrètes pour augmenter le capital.
- La certification : quand ces différentes étapes ont été complétées, c’est le moment de réaliser un second audit. Ce document permet de vérifier que les corrections apportées ont les effets escomptés sur les anciennes faiblesses de l’entreprise. Le cas échéant, les spécialistes émettent alors un certificat de transmission.
Lorsque ces étapes sont complétées, il est possible alors d’entamer réellement les démarches de la transmission : sélection d’un mode de transmission, diffusion de l’offre et recherche d’un repreneur.
Découvrez les services d’Actoria Luxembourg qui vous accompagne dans la préparation et dans toutes les étapes de la transmission de votre entreprise. Contactez-nous !
La vente de son entreprise est plutôt simple. Le cédant vend la totalité de la société. Mais il existe bien d’autres formes juridiques pour ce type de transaction. Quelles sont les alternatives et comment négocier ?
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Comment trouver le meilleur repreneur pour son entreprise
Vous voulez réaliser un maximum de profit en vendant votre entreprise ?
Mais vous ne voulez pas seulement un « successeur» pour votre entreprise, vous voulez trouver le repreneur le plus qualifié pour vous permettre de partir tranquille ?
Il n’est pas très compliqué de trouver des personnes intéressées par votre entreprise.
En revanche, faire coïncider le bon repreneur avec la bonne entreprise est un processus laborieux et le transfert de propriété de l’entreprise prend du temps. Cependant, plus vous êtes préparé, plus vous devriez réussir à trouver le repreneur idéal.
Avant de chercher un repreneur il y a quelques questions importantes qu’un cédant doit se poser.
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Tout d’abord, comment savoir si votre entreprise est vendable ?
Plusieurs éléments d’une entreprise sont déterminants de l’attractivité de votre entreprise.
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Votre entreprise a-t-elle de bons fondamentaux ?
A t-elle un solide historique de rentabilité par exemple, un avantage concurrentiel, des contrats commerciaux signés de longue durée ou renouvelable par tacite reconduction, des opportunités de croissance ?
D’autres aspects sont à prendre en compte comme la fidélité à la marque, les droits de propriété intellectuelle, les licences ou les brevets.
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Pour le repreneur, la question de base est : votre entreprise vaut-elle ce que vous en demandez ?
Cela est évident pour vous car vous avez fait réaliser une évaluation. Vous voulez bien sûr le prix maximal pour votre entreprise, mais la fixation d’un prix demandé trop élevé pourrait effrayer les repreneurs potentiels. A l’inverse si vous fixez un prix trop bas, vous allez perdre de l’argent.
Selon les professionnels, la valeur d’une entreprise est déterminée par une compilation de facteurs tels que l’évolution du chiffre d’affaires, des bénéfices, le rendement, les perspectives du marché, le personnel, la valeur nette comptable et la valeur de remplacement de marché des actifs d’exploitation équivalents.
La valeur est également influencée par les actifs incorporels tels que l’image de marque d’une société, l’attirance du secteur, l’offre et la demande.
La valeur d’une entreprise se résume à ce que le repreneur donne comme valeur au présent mais aussi combien il espère tirer des résultats futurs. Et les bénéfices futurs sont souvent l’essentiel pour un repreneur. Certaines entreprises gagnent même plus d’argent après avoir été acquise. L’appréciation des gains futurs va déterminer la potentialité des repreneurs à se trouver dans une fourchette haute ou basse de proposition.
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Quels sont les critères pertinents de valorisation ?
Les entreprises sont généralement vendues pour un multiple des flux de bénéfice. Les facteurs externes à ces multiples sont souvent liés au secteur d’activité qui sont eux-mêmes dépendants de facteurs conjoncturels. Par exemple en ce moment, les multiples sont plus élevés pour les entreprises qui fabriquent un produit plutôt que celle qui le distribue.
Les autres facteurs qui influencent la valorisation sont liés à la tendance de l’entreprise qui est soit baissière, soit haussière, soit neutre. Si une entreprise perd 20 % de part de marché ou 20 % de son chiffre d’affaires au cours des deux dernières années, alors elle ne va pas obtenir le même multiple qu’une entreprise dont les mêmes chiffres sont à la hausse.
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Quels autres leviers pour vendre aux meilleures conditions ?
Un autre point important pour obtenir un prix juste et raisonnable pour votre entreprise : réussir une bonne négociation.
Je vous conseille d’envisager l’embauche d’un négociateur pour cette phase. Le travail de l’intermédiaire est de sélectionner un panel de repreneurs, de justifier de la valeur technique de l’entreprise, de préserver la confidentialité et d’argumenter sur les points forts tout en expliquant les réponses apportées aux points négatifs.
Trouver le bon repreneur est la clé d’une transaction sans heurt; il contribuera à la pérennité et à la croissance de l’entreprise. Même si vous travaillez avec un intermédiaire, il incombe toujours de comprendre le processus de cession. Voici quelques lignes directrices pour vous aider à naviguer dans les eaux troubles.
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Qui sont vos repreneurs potentiels?
Beaucoup de profils sont dignes d’intérêts. Un repreneur peut venir de vos employés, clients, fournisseurs ou concurrents. Les gens achètent des entreprises pour des raisons différentes, et cela aura une incidence sur votre façon de présenter votre entreprise mais aussi sur vos stratégies de négociation.
Généralement, les repreneurs sont divisés en deux groupes: les repreneurs stratégiques et financiers.
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Les repreneurs stratégiques
se pencheront sur la façon dont votre entreprise peut s’imbriquer dans les plans de leur propre entreprise (société en croissance externe) ou de leur carrière (personnes physiques).Cela pourrait être un de vos concurrents, une grande entreprise qui veut entrer sur un nouveau marché ou s’offrir un nouveau produit. Mais il peut aussi s’agir d’un ex-manager d’un grand groupe qui veut transformer son expérience passée. Si vous répondez à leurs attentes, les repreneurs stratégiques seront généralement en mesure vous payer plus que les autres types de repreneurs.
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Les repreneurs financiers
sont plus intéressés par la rentabilité et la stabilité de votre entreprise.Ils pourraient s’agir d’entreprises ou d’individus qui recherchent un retour sur investissement en priorité. Certains voudront une entreprise solide, bien gérée qui nécessite peu de surveillance tandis que d’autres peuvent se spécialiser dans les situations de redressement et vont chercher à acheter une entreprise qu’ils peuvent pressuriser pour faire un profit.
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Où pouvez–vous trouver des repreneurs potentiels ?
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Si vous voulez préserver la confidentialité de l’opération votre marge de manœuvre est très réduite.
En parler en interne, c’est presque inconcevable. D’un autre côté sans communication, difficile de faire connaître votre projet.
Vous pouvez tâter le terrain avec des gens de confiance que vous connaissez ou utiliser des supports tels que des revues professionnelles ou des sites internet spécialisées.
[mks_icon icon=”fa-arrow-right” color=”#000000″ type=”fa”] Mais un spécialiste en transmission d’entreprise dispose de son propre portefeuille de repreneurs et d’investisseurs.
Il sera en mesure d’approcher les repreneurs potentiels de manière confidentielle.Vous ne pouvez vous permettre de perdre des clients précieux, fournisseurs ou employés en raison de connotations négatives qui pourraient venir de la mise en vente de votre entreprise.
Pour céder une entreprise, pas de place à l’improvisation. Des techniques et mécaniques ont fait leurs preuves, au Luxembourg ou à l’international. Retrouvez les conseils d’Actoria, expert en transmission depuis plus de 25 ans.
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Selon un récent sondage, 40% des Luxembourgeois entre 18 et 30 ans se rêvent entrepreneurs. Sont-ils trop jeunes pour reprendre une entreprise ? Faut-il les encourager dans cette voie et comment ?
Fixer le prix idéal pour son entreprise est loin d’être l’étape la plus facile du processus. Si vous le fixez à un niveau trop bas, vous n’allez pas rentrer dans vos frais et si vous le fixez à un niveau trop haut, il est probable que peu de client achète votre produit. Alors comment fixer le prix de vente de son entreprise ?
Vendre au meilleur prix son entreprise est sans aucun doute l’un des meilleurs critères de résultat pour savoir si on a réussi ou non sa transmission.
Pour réussir vos projets après la transmission, qu’il s’agisse d’un départ à la retraite, d’un changement d’activité, d’un changement de vie, vous avez besoin de tirer suffisamment d’argent de la vente sans oublier de prendre en compte la fiscalité et les frais de la transaction.
Mais pour arriver à ce résultat, vous avez besoin de connaître la ou les techniques qui permettent de fixer le bon prix pour votre entreprise.
Vous pouvez demander à un professionnel de vous faire une expertise de votre entreprise mais cela ne vous donnera pas le prix de vente de votre entreprise.
Pour chaque opération que nous avons réalisée par le passé, nous avons toujours eu un entretien avec notre client sur la fixation du prix de vente de l’entreprise après avoir réalisé une expertise financière de l’entreprise.
Alors pourquoi un entretien vous allez me dire après avoir réalisé une expertise financière ?
Une expertise financière donne la valeur d’une entreprise à un moment T, par exemple au 31 décembre.
Mais si vous recherchez un repreneur en 2015, il est possible que la situation ait changé et que les résultats de votre entreprise ne soient plus en ligne avec les données financières des années précédentes qui ont servi de bases aux calculs de valorisation.
La valeur de votre entreprise peut ainsi avoir augmentée ou au contraire avoir baissée.
Par ailleurs, une expertise est une approche financière relativement statique et ne prends pas en compte la stratégie que vous avez mise en place pour l’avenir. Or c’est bien le futur que le repreneur achète ou sur lequel un investisseur investit et non sur le passé. C’est souvent sur la base d’un pari sur l’avenir qu’un repreneur va vous faire une proposition.
De même une expertise donne une valeur financière et comptable minimale de votre PME.
Suivant le potentiel de croissance de votre entreprise ou au contraire les perspectives négatives vous devrez fixer un prix de vente plus ou moins élevé.
L’expertise est donc un indicateur de valeur mais n’est pas le prix de vente que vous devez fixer avec d’autres méthodes
Alors concrètement comment fixer le prix de vente ?
Quoi qu’en pensent certains, on ne fixe pas le prix de vente de son entreprise à la tête du repreneur/investisseur (par exemple en fonction des moyens financiers plus ou moins importants des repreneurs !!!).
Vous devez avoir un seul prix de présentation même si un fonds d’investissement Qatari est intéressé..
On ne fixe pas non plus le prix de vente de son entreprise en fonction de l’argent que l’on a investi dans son entreprise ….ou des années de labeur peu rémunérées.
On ne fixe pas non plus le prix de vente de son entreprise en fonction du prix d’une entreprise vendue il y a quelque temps dans votre secteur. Même si l’entreprise vendue avait le même chiffre d’affaires, elle n’avait sans doute pas la même rentabilité et la même stratégie et le même potentiel de croissance.
Prendre comme référence le prix de vente des grandes entreprises cotées en bourse n’est pas plus non une bonne idée. Vous serez pris comme un farfelu par les repreneurs et les banques car il ne s’agit pas du même marché.
On ne fixe pas plus le prix de vente de son entreprise en fonction de l’offre et de la demande. Ce n’est pas parce qu’il y a peu d’entreprises à vendre que vous pouvez vendre chère votre entreprise mais l’inverse est aussi vrai : s’il y a beaucoup d’entreprises à vendre cela ne signifie pas nécessairement que votre entreprise doit être sous-valorisée.
Alors existe-t-il des critères objectifs ou des méthodes rationnelles qui permettent de fixer le prix de vente de son entreprise ?
Et bien oui et non.
Nous aimerions vous dire une chose très importante et issue de notre expérience.
Nous avons remarqué que le prix d’une entreprise évolue dans le temps et de manière non linéaire.
Le prix que vous avez fixé l’an passé ne correspond plus au prix que vous pourriez fixer aujourd’hui ni à celui que vous pourriez fixer l’année prochaine.
La courbe de prix d’une entreprise n’est pas comme celle d’un produit qui a la forme d’une parabole avec un point haut au stade de maturité avant d’atteindre le déclin.
Pour une entreprise la courbe de valeur est plus instable et moins régulière : elle fluctue en fonction de cycles liés à des aspects macro économiques (conjoncture, changement de réglementation, politique de crédit, politique d’investissements au niveau public et des grandes entreprises,…).
La courbe de valeur d’une entreprise fluctue aussi en fonction d’aspects micro économiques liés à la vie de l’entreprise elle-même, à la stratégie que vous avez en mis en place qui rapporte plus ou moins ses fruits.
Et ce que nous avons remarqué c’est qu’au final ce ne sont pas les aspects macro économiques qui sont les plus importants mais plutôt les aspects liés à l’entreprise.
Nous vous avons indiqué plus haut qu’une entreprise n’est pas un produit comme les autres. Mais il s’agit tout de même d’un produit…
Et comme tout produit votre entreprise doit innover en permanence si vous voulez que sa valeur continue de croître.
Votre entreprise doit donc idéalement être mise sur le marché avec une fenêtre de tir favorable qui prend en compte la courbe de croissance de votre entreprise.
Et on sait que la fenêtre de tir est la bonne lorsque sa rentabilité est en croissance depuis quelques années et devrait l’être encore plusieurs années, que vos produits ou services n’ont pas encore atteint le stade de maturité ou l’ont atteint depuis peu de temps.
Si vous comprenez bien cette notion, vous partez sur de bonnes bases et même si vous êtes un mauvais vendeur vous pourrez recevoir des propositions sérieuses parce que les repreneurs/investisseurs seront convaincus que votre entreprise a un potentiel de croissance important.
Mais il y a autre chose que vous devez aussi savoir : un repreneur n’achète pas une entreprise ou un investisseur n’investit pas dans une entreprise en fonction de son passé, du temps et de l’argent que vous avez investi, ni en fonction de son présent de ses résultats actuels mais en fonction de son futur et de son potentiel de croissance.
C’est ce potentiel qui justifiera qu’il accepte de payer un prix élevé pour votre entreprise et rien d’autre.
Vous pouvez demander à un professionnel de vous réaliser une expertise financière de votre entreprise mais cela ne vous donnera pas le prix de vente de votre entreprise.
Il est tout à fait obligatoire d’effectuer une expertise financière son entreprise mais cela reste insuffisant.
En effet, une expertise financière donne la valeur d’une entreprise à un moment T, par exemple au 31 décembre, date d’arrêté des comptes de votre entreprise.
Il s’agit d’une approche financière relativement statique qui ne prends pas en compte la performance dans le temps de votre entreprise, ni la stratégie que vous avez mise en place pour l’avenir. Or c’est bien le futur que le repreneur achète ou sur lequel un investisseur investit et non sur le passé. C’est souvent sur la base d’un pari sur l’avenir qu’un repreneur va vous faire une proposition.
Une expertise donne une valeur financière et comptable minimale de votre PME et ne permet pas de dégager une tendance positive, neutre ou négative sur l’activité et les résultats de votre entreprise.
Suivant le potentiel de croissance de votre entreprise ou au contraire les perspectives négatives vous devrez fixer un prix de vente avec une survaleur ou au contraire une décote.
L’expertise est donc un indicateur de valeur mais n’est pas le prix de vente que vous devez fixer en réalisant un diagnostic des forces, faiblesses mais aussi opportunités de développement ainsi que les risques qui pèsent sur l’entreprise.
Seul le diagnostic de votre entreprise permettra de justifier d’un prix de vente plus élevé que la valeur expertisée de votre entreprise car il mettra en avant les indicateurs de performance de votre entreprise.
Le département Santé de Actoria cité dans Pharma
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PME familiale ou structure internationale, la vente d’une entreprise demande toujours une bonne dose de préparation. Retrouvez les grandes tendances et actions à mener avant de transmettre.
Vous êtes dirigeant d’entreprise et vous réfléchissez depuis un moment à transmettre votre société ? Quelles sont les grandes étapes de la transmission d’entreprise ? Eclairage sur 4 étapes stratégiques.
Quelles sont les grandes étapes de la transmission d’entreprise ?
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Se préparer psychologiquement
Réussir sa transmission d’entreprise est un véritable défi qui va vous engager durablement. Pour vous mettre dans les meilleures dispositions, 2 points méritent votre attention. Tout d’abord, faites abstraction du rapport affectif que vous entretenez avec votre « bébé », mettez-vous dans la peau de l’acquéreur et de ses exigences, ce qui vous permettra de prendre de la distance.
Demandez-vous aussi si vous êtes réellement prêt à céder votre entreprise ? Si par exemple vous commencez à parler d’une vente éventuelle à votre entourage, mais que vous revenez sur votre décision, cela aura des conséquences négatives sur l’image et la valeur de votre entreprise.
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Préparer « la mariée »
Pour réussir à transmettre votre entreprise, vous allez devoir la présenter sous son meilleur jour, sous ses plus beaux attraits, mais en restant lucide. De toute façon, un repreneur sérieux auditera les comptes et vérifiera vos dires. Il convient de réaliser un diagnostic 360 de l’entreprise et d’identifier les obstacles (financiers, juridiques, commerciaux, organisationnels, etc.) à une possible cession.
L’étape de la valorisation de votre entreprise est essentielle. Différentes méthodes s’offrent à vous pour évaluer la valeur de votre entreprise. Suivant que vous cédiez votre fonds de commerce ou des titres de participation, les méthodes d’évaluation ne sont pas les mêmes. Enfin, soyez réaliste sur le prix de vente : la valeur obtenue à la suite du processus d’évaluation servira simplement de base à la négociation avec un repreneur.
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Trouver le bon repreneur
La recherche du bon repreneur est une étape clé de la transmission d’entreprise. Un de ses enjeux est la confidentialité du dossier, ou comment engager des contacts sans déstabiliser l’entreprise, si elle est amenée par exemple à faire l’objet d’une possible rumeur de cession…
N’hésitez pas à envisager toutes les solutions possibles. Le bon repreneur est peut-être quelqu’un de votre famille ou en tout cas une personne de votre entourage. Mais il peut tout aussi bien s’agir d’un concurrent ou d’un collaborateur de l’entreprise. Dans ce dernier le cas, un salarié sera en général flatté d’avoir été consulté et aura d’autant plus une attitude bienveillante à l’égard d’un autre repreneur.
Lire à ce sujet : Comment trouver un repreneur ?
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La phase de transmission
Elle débute lorsqu’un repreneur sérieux se fait connaître et manifeste son intention de rentrer en négociation pour reprendre votre entreprise. Il s’agit d’une période décisive durant laquelle les 2 parties s’appuient sur des professionnels de la transmission d’entreprise. Actoria, spécialiste depuis plus de 25 ans de la transmission d’entreprise peut vous accompagner dans toutes vos démarches pour que la transaction se passe dans les meilleures conditions.
Avant de négocier la transmission de votre entreprise, c’est-à-dire vous mettre d’accord avec le repreneur sur les conditions de la transmission, votre acquéreur potentiel réalisera un audit d’acquisition appelé « due diligence », pour vérifier que les informations que vous lui avez transmises sont exactes, et écarter les risques potentiels. L’audit, qui a pour objet la connaissance de l’entreprise ciblée doit être fait dans les règles de l’art. Méfiez-vous des candidats-repreneurs qui se montreraient peu concernés par cette étape. Un manque d’implication pourrait souligner la faiblesse du projet de reprise de votre société.
Vous réfléchissez ou avez pris la décision de reprendre une entreprise en Luxembourg ? Découvrez les 4 critères que vous ne pouvez ignorer avant de passer à l’achat. Read more
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